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Comment faire un ragréage sur un ancien carrelage en 8 étapes ?

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Comment faire un ragréage sur un ancien carrelage en 8 étapes ?

Vous avez acheté une maison à rénover et, en posant un meuble ou en déroulant un niveau, vous réalisez que rien n’est vraiment droit… Le sol ondule, le carrelage accroche le regard, et l’idée de poser un nouveau revêtement devient vite source de doute. Impossible pourtant de faire l’impasse : si le carrelage existant n’est pas parfaitement plat, un ragréage est indispensable pour repartir sur une base saine. Comment faire un ragréage sur du carrelage ? Nettoyage du support, rebouchage des défauts, application du primaire d’accrochage, coulage du mortier… Cet article vous guide pas à pas à travers les étapes clés pour réussir votre ragréage, et vous présente aussi 4 solutions efficaces pour recouvrir un carrelage existant et transformer votre sol sans mauvaises surprises.

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Zoom sur le prix :
Un ragréage réalisé par vos soins vous coûtera en moyenne de 15 à 20 € /m². Si vous faites intervenir un professionnel, comptez plutôt de 30 à 40 € /m², pose comprise bien entendu. Le prix d’un travail parfait !


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Comment faire un ragréage sur du carrelage pour le niveler ? 8 étapes

Avant de vous lancer, gardez en tête qu’un ragréage sur carrelage se prépare autant qu’il se coule : l’adhérence est le vrai point clé. L’objectif est d’obtenir un support propre, solide et suffisamment “accrocheur” pour que l’enduit de ragréage tienne dans le temps, sans cloquer ni se décoller.

1. Nettoyez et dégraissez soigneusement l’ancien carrelage

Commencez par lessiver le sol (détergent type lessive Saint-Marc ou produit dégraissant adapté), puis rincez abondamment. Sur un carrelage de cuisine, d’entrée ou très encrassé, insistez sur les joints et les zones grasses : la moindre pellicule peut empêcher le primaire d’adhérer. Laissez ensuite sécher complètement : un support humide, même légèrement, peut fragiliser la prise du ragréage.

2. Contrôlez l’état du carrelage et repérez les défauts à corriger

Passez la main et observez : carreaux décollés, fissures, éclats, joints creux… Retirez tout ce qui ne tient plus (carreaux qui sonnent creux, morceaux instables). Profitez-en pour identifier les zones “en cuvette” et les bosses : une règle de 2 mètres posée au sol est idéale pour visualiser les écarts de niveau et anticiper l’épaisseur nécessaire.

3. Réparez : bouchez trous, manques et zones fragilisées

Une fois les éléments instables retirés, rebouchez les manques au mortier de réparation (ou mortier de rebouchage adapté sol). L’idée est de retrouver une surface saine, sans creux francs ni bords cassants qui feraient varier l’épaisseur du ragréage. Laissez durcir le temps recommandé, puis grattez/poncez les surépaisseurs pour éviter de “charger” inutilement.

4. Améliorez l’accroche si le carrelage est lisse ou non poreux

Un carrelage très brillant, émaillé ou effet marbre peut être trop fermé pour recevoir un ragréage dans de bonnes conditions. Dans ce cas, un ponçage léger (ou un égrenage) aide à créer une micro-rugosité et à supprimer la brillance. Dépoussiérez ensuite minutieusement : la poussière de ponçage est l’ennemie numéro 1 de l’adhérence.

5. Protégez la pièce et préparez vos repères de niveau

Avant de couler, sécurisez le chantier : plinthes, bas de murs, seuils, pieds de meubles, évacuations… Protégez au ruban et aux bâches, puis prévoyez une zone de circulation pour sortir de la pièce sans marcher dans le frais. Si vous avez plusieurs passages à traiter, matérialisez vos limites (seuil de porte, jonction avec un autre revêtement) et vérifiez l’impact sur la hauteur sous portes.

6. Appliquez un primaire d’accrochage adapté au carrelage

Le primaire est indispensable : il fait le lien entre un support “fermé” et l’enduit de ragréage. Appliquez-le au rouleau ou à la brosse, sans oublier les angles, et respectez scrupuleusement le temps de séchage indiqué par le fabricant. Trop tôt, l’enduit peut mal se tendre ; trop tard (selon produits), vous risquez de perdre l’effet collant recherché.

7. Choisissez, préparez et mélangez le bon mortier de ragréage

Le choix dépend de l’écart à rattraper : si l’écart mesuré à la règle est inférieur à 1 cm, un mortier de lissage convient ; au-delà de 1 cm, préférez un mortier de nivellement, plus consistant et conçu pour reprendre de plus grandes différences de hauteur. Mélangez au malaxeur en respectant le dosage eau/poudre : un mélange trop liquide s’affaisse et fissure plus facilement, trop épais se tire mal et laisse des traces. Laissez reposer si le fabricant le demande (temps de maturation), puis remalaxez brièvement.

8. Appliquez le ragréage, tirez à la règle, finissez… puis laissez sécher correctement

Versez et étalez progressivement, en partant du fond de la pièce pour revenir vers la sortie. Tirez le mortier à la règle (idéalement 2 m) pour répartir et niveler, puis réalisez les finitions à la truelle ou au platoir. Travaillez “frais sur frais” pour éviter les reprises visibles. Une fois la surface uniforme, laissez sécher : on compte souvent jusqu’à 72 h pour un séchage à cœur, mais cela dépend de l’épaisseur, du produit et des conditions ambiantes (température, humidité, ventilation). Évitez les courants d’air et le chauffage brutal : un séchage trop rapide peut provoquer des fissures. Quand le support est parfaitement sec et dur, vous pouvez démarrer la pose du nouveau revêtement (carrelage, PVC, parquet, etc.) en respectant la compatibilité colle/sous-couche et les temps d’attente du fabricant.

Quand est-il nécessaire de faire un ragréage ? 2 raisons

Il est nécessaire de faire un ragréage de sol lorsque vous souhaitez poser un nouveau revêtement, et dans les deux cas suivants :

  1. Lorsque le support d’origine présente de nombreuses imperfections : fissures, trous, irrégularités. Le ragréage est idéal pour obtenir une surface lisse pour accueillir un nouveau revêtement.

  2. Lorsque le sol n’est pas à niveau : si un écart trop important est constaté d’un coin à l’autre de la pièce, il est nécessaire de le rattraper au maximum avec un ragréage. Si vous posez un nouveau carrelage et surtout un carrelage rectifié sur un sol pas droit, il y a de grandes chances que les carreaux se cassent rapidement.

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Recouvrir un carrelage existant : 4 solutions

Le ragréage n’est pas compatible avec les sols non poreux comme un carrelage effet marbre s'il n'est pas bien poncé en amont. La chape ne tiendra tout simplement pas dans la durée...

Dans ce cas lorsqu’un ragréage n’est pas envisageable, 4 solutions s’offrent à vous :


1. Le carrelage clipsable : facile à poser

Le carrelage clipsable est idéal sur un ancien carrelage. Il est facile à poser, car il ne nécessite ni de joints, ni de colle.


2. Le parquet flottant : idéal si le sol est droit

Le parquet flottant peut être posé directement sur l’ancien carrelage en ajoutant une sous-couche et en s’assurant que le sol est droit.


3. La moquette : un bon isolant

La moquette revient en force dans nos maisons avec des effets anti-allergènes et anti-acariens. Excellent isolant phonique et thermique, elle se posera facilement directement sur votre vieux carrelage.


4. La peinture : une rénovation simple

Si votre carrelage est plutôt en bon état, vous n’êtes pas obligé de le recouvrir. Un simple coup de peinture spéciale carrelage de sol lui offrira un nouveau look et une nouvelle vie.

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Comment changer de sol sans tout casser ? 7 solutions possibles


🔍 Le vrai du faux sur le ragréage de carrelage

Le ragréage permet de rattraper n’importe quel défaut de niveau sur du carrelage ?

Faux, il a des limites bien précises.
Le ragréage sert à corriger de légères irrégularités, pas des différences de hauteur importantes. Des carreaux très gondolés ou un sol fortement en pente nécessitent des travaux plus lourds.

💡 Vérifiez l’ampleur des défauts avant travaux : au-delà de quelques millimètres, une solution alternative est souvent nécessaire.

Un ragréage sur carrelage suffit pour poser un nouveau revêtement ?

Faux, pas systématiquement.
Si le carrelage est mal fixé, fissuré ou sonne creux, le ragréage reproduira ces défauts. Le support doit être parfaitement stable pour garantir la durabilité du nouveau sol.

💡 Avant tout ragréage, contrôlez la solidité du carrelage et remplacez les carreaux défectueux.

Peut-on faire soi-même un ragréage sur carrelage sans risque ?

Faux, l’erreur est fréquente sans expérience.
Dosage de l’eau, temps de mélange, vitesse d’application : la moindre erreur peut compromettre la planéité du sol. Un ragréage raté est difficile à rattraper et peut retarder tout le chantier.

💡 Pour un résultat durable et parfaitement lisse, l’intervention d’un professionnel reste la solution la plus sûre.

😉 Le Conseil Habitatpresto : attention à la hauteur sous plafond !

Considérez qu’un ragréage diminue la hauteur sous plafond, sans compter le nouveau revêtement de sol qui viendra se poser par-dessus l’ancien carrelage. Si par exemple, vos portes butent sur le nouveau sol aplani, pensez à les raboter. Et si vous n’avez pas beaucoup de hauteur sous plafond, envisagez de complètement casser l’ancien carrelage plutôt que de le ragréer, et ainsi gagner quelques centimètres.


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FAQ utile

Faut-il faire un ragréage sur carrelage ?

Faire un ragréage sur carrelage est nécessaire lorsque le sol présente des défauts. Autrement dit, un ragréage sur carrelage s’impose si le revêtement est irrégulier, fissuré ou avec des joints creux. Cette étape permet d’obtenir une surface plane avant la pose d’un nouveau sol et d’éviter les défauts visibles.

Quand est-il nécessaire de mettre un ragréage ?

Il est nécessaire de mettre un ragréage lorsque le sol présente des différences de niveau supérieures à 5 mm, des ondulations ou des joints marqués. En clair, ragréer un sol permet de corriger les défauts avant la pose d’un carrelage, parquet ou sol PVC, garantissant une finition durable.

Quel ragréage sur carrelage ?

Le ragréage adapté sur carrelage est un ragréage autolissant spécifique supports fermés. Ce type de mortier adhère sur le carrelage existant après préparation. Choisir le bon ragréage pour carrelage est essentiel pour assurer une bonne accroche et éviter les décollements du futur revêtement.

Quelle est l’épaisseur minimale de ragréage ?

L’épaisseur minimale d’un ragréage est généralement de 3 mm. En pratique, cette faible épaisseur suffit pour lisser un carrelage légèrement irrégulier. Respecter cette épaisseur de ragréage est crucial pour garantir la résistance du sol et éviter les fissures ou la désolidarisation.

Comment faire un ragréage sur du carrelage ?

  1. Pour faire un ragréage sur du carrelage, commencez par dégraisser et nettoyer le sol.
  2. Appliquez un primaire d’accrochage adapté aux supports fermés.
  3. Préparez et coulez le ragréage autolissant en respectant l’épaisseur.
Cette méthode assure un sol parfaitement lisse et prêt à carreler.

Faut-il mettre un primaire d’accrochage sur ragréage avant carrelage ?

Oui, il faut mettre un primaire d’accrochage sur ragréage avant carrelage. Autrement dit, appliquer un primaire améliore l’adhérence de la colle à carrelage. Cette étape limite les risques de décollement et assure une pose durable, notamment dans les pièces humides ou très sollicitées.

Quel est le prix d’un ragréage de carrelage au m² ?

Le prix d’un ragréage de carrelage au m² se situe en moyenne entre 20 et 40 €, fourniture et pose comprises. Ce tarif varie selon l’état du sol, l’épaisseur nécessaire et la surface. Connaître ce coût permet d’anticiper le budget global avant la pose d’un nouveau revêtement.

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Lexique utile

  • Adhérence au support : L’adhérence au support est la capacité d’un ragréage à se fixer durablement sur un carrelage existant, généralement évaluée par essai d’arrachement (MPa). Elle dépend de la préparation (ponçage, primaire d’accrochage) et conditionne la durabilité, la conformité DTU et la prévention des décollements.
  • Autolissant : Un ragréage autolissant est un mortier fluide à base de liants hydrauliques qui se met à niveau par gravité après coulage. Il permet d’obtenir une planéité conforme aux tolérances DTU (règle de 2 m) et influe directement sur la qualité finale du futur revêtement.
  • Charge admissible : La charge admissible correspond à l’effort mécanique maximal que le complexe carrelage + ragréage peut supporter, exprimé en kg/m² ou en classe P. Elle est essentielle pour les locaux sollicités (cuisine, commerce) et impacte le choix du mortier de ragréage.
  • Compatibilité supports fermés : La compatibilité supports fermés désigne l’aptitude d’un ragréage à adhérer sur des surfaces non poreuses comme le carrelage émaillé. Elle conditionne l’obligation d’un primaire spécifique et garantit la conformité aux prescriptions fabricant et CPT.
  • Consommation théorique : La consommation théorique indique la quantité de ragréage nécessaire par m² et par mm d’épaisseur (kg/m²/mm). Elle permet d’estimer précisément le coût du chantier et d’éviter les sous-dosages préjudiciables à la résistance mécanique.
  • Délais de recouvrement : Les délais de recouvrement sont les temps minimaux avant la pose du revêtement final (carrelage, PVC). Ils dépendent du liant, de l’épaisseur et de l’hygrométrie, et conditionnent la planification du chantier et le respect des prescriptions techniques.
  • Épaisseur admissible : L’épaisseur admissible définit la plage minimale et maximale de mise en œuvre du ragréage (ex. 3 à 10 mm). Le non-respect de cette valeur entraîne fissuration, retrait ou perte de performance mécanique.
  • État de surface : L’état de surface du carrelage (propre, dégraissé, poncé) conditionne l’accrochage du ragréage. Une préparation insuffisante compromet la conformité DTU et la durabilité de l’ouvrage.
  • Fissuration réfléchie : La fissuration réfléchie est la remontée des fissures du carrelage existant à travers le ragréage. Elle impose parfois un traitement préalable (pontage, sous-couche armée) pour garantir la pérennité du sol fini.
  • Fond dur : Un fond dur est un support rigide, stable et non déformable, comme un carrelage scellé sain. Cette caractéristique est indispensable pour accepter un ragréage sans risque de désolidarisation ou de rupture sous charge.
  • Granulométrie : La granulométrie correspond à la taille des charges minérales du ragréage. Elle influence la fluidité, la planéité finale et l’épaisseur réalisable, avec un impact direct sur la finition et la compatibilité avec les revêtements minces.
  • Hygrométrie ambiante : L’hygrométrie ambiante désigne le taux d’humidité de l’air lors de la mise en œuvre et du séchage. Un excès d’humidité allonge les temps de prise et peut compromettre la résistance finale du ragréage.
  • Impression primaire : L’impression primaire est un primaire d’accrochage appliqué avant ragréage sur carrelage. Elle régule l’adhérence chimique et mécanique, limite les bullages et conditionne la conformité aux prescriptions fabricant.
  • Liant hydraulique : Le liant hydraulique est le composant actif du ragréage assurant la prise et la résistance (ciment, liant spécial). Sa nature influence le temps de séchage, la compatibilité support et la performance mécanique.
  • Mortier de ragréage : Un mortier de ragréage est un mélange prêt à gâcher destiné à corriger la planéité d’un sol. Sur carrelage, il doit être spécifiquement formulé pour supports fermés afin d’assurer conformité et durabilité.
  • Planéité : La planéité désigne la régularité du sol après ragréage, mesurée à la règle de 2 m selon les tolérances DTU. Elle conditionne la qualité de pose du revêtement final et limite les désordres esthétiques et mécaniques.
  • Poncage mécanique : Le ponçage mécanique est une opération de préparation visant à ouvrir la surface du carrelage. Il améliore l’accroche du primaire et du ragréage, réduisant les risques de décollement.
  • Pontage des joints : Le pontage des joints consiste à neutraliser les joints de carrelage avant ragréage, souvent par enduit ou trame. Il limite les fissurations réfléchies et sécurise la durabilité du complexe.
  • Préparation du support : La préparation du support regroupe nettoyage, dégraissage, ponçage et primaire. Elle est déterminante pour la conformité normative, la tenue dans le temps et la validité des garanties.
  • Primaire époxy : Un primaire époxy est un primaire haute adhérence utilisé sur carrelage très fermé ou sollicité. Il améliore la résistance à l’arrachement mais augmente le coût et la technicité de mise en œuvre.
  • Résistance à la compression : La résistance à la compression exprime la capacité du ragréage à supporter les charges, mesurée en MPa. Elle est essentielle pour les locaux à trafic et influe sur la durabilité du sol.
  • Retrait hydraulique : Le retrait hydraulique est la contraction du ragréage lors du séchage. Un retrait excessif provoque fissures et décollements, d’où l’importance de respecter dosages et épaisseurs admissibles.
  • Rugosité du support : La rugosité du support correspond au niveau d’accroche mécanique offert par le carrelage préparé. Elle conditionne l’efficacité du primaire et la stabilité du ragréage.
  • Séchage : Le séchage est la phase d’évaporation de l’eau du ragréage après prise. Sa durée dépend de l’épaisseur et des conditions ambiantes, et impacte directement les délais de chantier.
  • Support fermé : Un support fermé est un support non absorbant comme le carrelage émaillé. Il nécessite des produits spécifiques et une préparation renforcée pour respecter les règles professionnelles.
  • Temps de prise : Le temps de prise correspond à la durée avant durcissement initial du ragréage. Il conditionne l’organisation de la mise en œuvre et la qualité de finition.
  • Tolérances DTU : Les tolérances DTU définissent les écarts admissibles de planéité et d’épaisseur après ragréage. Leur respect est indispensable pour la conformité réglementaire et la pérennité du revêtement.
  • Trafic admissible : Le trafic admissible désigne le niveau de sollicitation piétonne ou roulante supporté après durcissement. Il influence le choix du ragréage et conditionne la durabilité en usage réel.

Références :

  • COMMENT RÉNOVER UN SOL ANCIEN OU IRRÉGULIER ? - Capeb
  • Exécution des enduits de sols intérieurs pour la pose de revêtements de sol - CSTB
  • Fiche technique Ragréage autolissant P3. - MAPEI
  • FAIRE UN RAGRÉAGE SUR DU CARRELAGE ÉXISTANT - Youtube
  • Image principale réalisée avec l'aide de l'IA pour mieux vous inspirer.

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