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Prix d'un ragréage de sol intérieur au m2 : ⚠️ les vrais tarifs, conseils malins & devis

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Vous êtes propriétaire et souhaiteriez changer le sol de l'une de vos pièces, mais celui-ci n'est pas assez lisse pour la pose d'un nouveau revêtement ? Une mise à niveau s'impose ! Le ragréage de sol est la meilleure solution pour vos travaux de rénovation. Sachez que le prix d'un ragréage par un professionnel s'élève en moyenne entre 20 et 45 € le m². Quelles techniques sont possibles ? On répond à toutes vos questions !

✅ Article validé par notre référent technique travaux, Sevcet C.

Bref rappel : qu'est-ce que le ragréage ?

Le sol de votre maison présente dans certaines pièces des irrégularités qui rendent la pose d'un nouveau revêtement difficile ? Vous aimeriez vraiment enfin pouvoir poser un parquet ou même un nouveau carrelage sur l'ancien revêtement, mais celui-ci est vraiment en trop mauvais état ? Le ragréage est la solution à tous vos problèmes.

Le ragréage permet de lisser et d'aplanir les sols, qu'ils soient abîmés ou neufs, grâce à un enduit de finition. En bre, il élimine les défauts pour avoir un sol bien lisse. Il s'agit d'un mélange de ciment, d'eau et de sable. On peut l'utiliser sur des carrelages, des sols en béton ou du ciment.


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Prix d'un ragréage de sol : par moi VS par un pro ?

Si la pose n'est pas très difficile, elle nécessite tout de même un peu de "doigté" et un certain savoir-faire. Il est donc possible de réaliser vous-même votre ragréage de sol mais en cas de ratés, il faudra faire appel à un professionnel pour rattraper vos erreurs ! Quoi qu'il en soit, si vous n'êtes pas bricoleur, il est fortement recommandé de confier les travaux à un carreleur professionnel.

Et pour cause, l'objectif ici est d'appliquer un enduit destiné à lisser le sol et obtenir une surface parfaitement plane. Et ce, pour pouvoir poser un nouveau revêtement au sol, une fois la surface rénovée. Le ragréage se doit donc d'être parfaitement réalisé, si vous ne voulez pas être embêté par la suite.

👉 Le ragréage est la solution pour remettre un sol à niveau et poser un nouveau revêtement de sol. Carrelage, parquet, tout est permis !

ragréage de sol prix

Réaliser une chape n'est pas si simple. Un ragréage raté implique de tout casser et de tout recommencer...


Vous voulez consacrer vos dimanches à autre chose qu'aux travaux ? Confiez le chantier à un professionnel pour être plus vite débarrassé !


Quel est le coût au m² pour ragréer un sol ?

Le budget à prévoir pour ragréer un sol peut varier du simple au double, voire au triple. Réaliser les travaux soi-même sera bien évidemment plus économique que si vous avez recours à un artisan.

Par un professionnel

Un ragréage de sol par un professionnel coûte en moyenne entre 20 et 45 le m². Faire appel à un artisan maçon est le gage de travaux réalisés dans les règles de l'art et couverts par la garantie décennale dès la fin du chantier. Cette assurance peut couvrir les éventuels dommages ou malfaçons conduisant à des problèmes de résistance de votre sol, mais aussi à l'apparition de fissures, dans les 10 ans après la réception des travaux.

Par vos soins

Si vous décidez de réaliser vous-même les travaux, il vous faudra prévoir en moyenne entre 6 et 8 € le m², hors matériel.

Pour ce faire, vous devrez acheter de l'enduit de ragréage, vendu entre 15 et 35 € en moyenne le sac de 25 kg. Chaque sac de ragréage permet de couvrir près de 5 m², soit un prix compris entre 3 et 7 € / m².

👉
À noter :
Le nombre de sacs à prévoir varie en fonction de la surface à recouvrir, de l'épaisseur du ragréage envisagée (généralement comprise entre 3 et 10 mm, NDLR) et de la consommation du produit par mm et par m².

Mais ce n'est pas tout, puisque avant cela, il sera bien souvent nécessaire d'appliquer un primaire d'accrochage. Le bidon de 5 litres est vendu en moyenne entre 40 et 55 €, soit entre 8 et 11 € du litre. Un litre de peinture couvre traditionnellement 5 m², soit un prix situé entre 1,50 et 3 € / m².

Le matériel nécessaire pour réussir un ragréage

Pour l'application et la pose d'un ragréage, il est primordial de bien préparer le sol à la pose du mortier. Il faut ainsi boucher toutes les fissures, en veillant bien, au préalable, à être équipé du matériel adéquat, à savoir :

  • une perceuse visseuse ;
  • un malaxeur ;
  • un seau ;
  • une règle de maçon de 2 mètres ;
  • un niveau à bulle ;
  • une brosse à encoller ; 
  • une truelle langue de chat ;
  • une lisseuse.

Les facteurs qui peuvent faire varier le prix

Le prix d'un ragréage de sol dépend de plusieurs facteurs :

  • la surface à ragréer ;
  • la nature et l'état du sol à rénover ;
  • la préparation du sol ;
  • le type de ragréage à effectuer (lire ci-dessous) ;
  • le coût de la main-d'œuvre.

L'expertise de Christophe, chapiste dans le 71 : 

« Si vous devez faire un ragréage, le vrai conseil de pro, c’est de ne jamais accepter un devis au m² sans que l’artisan ait effectué un test de porosité et d’humidité sur votre dalle avant. Trop de devis sont faits “à l’œil” en estimant l’épaisseur moyenne. Mais si la dalle boit trop, le ragréage va sécher trop vite, va fissurer ou pire : il va se décoller. Le test de porosité, on le fait avec quelques gouttes d’eau en surface — si ça absorbe en moins de 2 minutes, faut primer plus fort ou doubler la couche. Une fois, à Chalon-sur-Saône, j’ai repris un sol ragréé par une entreprise en express : 120 m² à refaire car la dalle, ancien béton sablé, avait pompé tout le liant en dessous. Un vrai désastre. Le client avait économisé 3 €/m², mais ça lui en a coûté 3 fois plus. Exigez toujours une vérif technique en amont, même si c’est un “petit” chantier : ça, seul un pro vous le propose spontanément. »

Les 2 types de ragréage de sol

Il existe 2 types de ragréage pour le sol intérieur. Vous aurez le choix entre un ragréage autolissant, qui est l'option la plus simple à mettre en place, et un ragréage fibré, qui sera à privilégier si votre sol présente d'importants défauts et automatiquement plus coûteux.

Ragréage autolissant
Ragréage fibré 
Pour les sols avec de petites irrégularités : vieille chape, carrelage ou parquet abîmé
Pour les sols avec des irrégularités importantes ou pouvant se déformer comme les parquets flottants
Ragréage classique en béton
Possibilité d'appliquer un primaire d'accrochage ou primaire d'adhérence, notamment sur les surfaces poreuses, pour offrir au mortier de ragréage une adhérence optimale au sol, mais aussi entre l'ancien support et le nouveau revêtement
Ragréage avec mortier fibré, qu'on appelle aussi mortier de nivellement
Les fibres vont permettre de rattraper les grosses irrégularités et s'adaptent aux sols souples
Nécessite plus de technique et de savoir-faire et un temps de pose plus important
Prix de pose TTC par un professionnel : 20 à 30 € le m²
Prix de pose TTC par un professionnel :  25 à 45 € le m²


💡
À retenir : 
Le mortier fibré de ragréage coûte en moyenne 20 % plus cher que le mortier classique de nivellement.


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Quelles surfaces peuvent faire l'objet d'un ragréage ?

On peut ragréer des surfaces dures comme le béton, le ciment, le carrelage, le parquet et même des dalles plastiques rigides. Avant de le faire, il est essentiel d'enlever tout ce qui pourrait gêner l'adhérence, comme du bois, de la colle ou de la peinture. Par contre, évitez sur des surfaces souples comme la moquette ou un parquet flottant.

Quel temps de séchage respecter ?

Une fois l'opération effectuée, il vous faudra observer un temps de séchage, indispensable avant de poser un nouveau revêtement sur votre sol tout juste ragréé. Ce laps de temps diffère en fonction de votre choix de revêtement. Il vous faudra ainsi respecter un temps de séchage compris :

  • entre 6 et 12 heures avant de poser un carrelage ou une moquette ;
  • entre 1 et 2 jours pour un lino, sol en PVC, sol souple ou sol vinyle ;
  • entre 2 et 4 jours pour poser un parquet ;
  • entre 4 jours et une semaine, si vous envisagez d'appliquer une peinture de sol sur le ragréage.

Vos doutes, nos réponses sur le ragréage de sol

Avant de poser un nouveau revêtement, le mot “ragréage” revient souvent. Mais ce terme technique peut sembler flou, voire anxiogène. Voici les vraies réponses aux doutes que vous pouvez avoir avant de vous lancer.

Est-ce que je risque de mal faire si je le fais moi-même ?

✅ C’est la crainte n°1 — et elle est fondée. Un ragréage raté, c’est souvent un défaut invisible qui apparaît… trop tard : sol qui sonne creux, fissures, bulles, ou revêtement qui “flotte”. Un artisan, lui, saura gérer les pièges du support (zones poreuses, ponts thermiques, humidité résiduelle…).
👉 Conseil pro : testez l’adhérence de votre sol avec un scotch de masquage. S’il se décolle avec de la poussière, mieux vaut confier le chantier à un pro.

Mon sol semble correct à l’œil nu, pourquoi me parle-t-on quand même de ragréage ?

✅ Parce que l’œil nu est rarement un bon juge. Un décalage de 2 mm suffit à compromettre la pose d’un carrelage ou d’un parquet clipsable. Le ragréage permet de “sécuriser” l’adhérence et la planéité à long terme, même si le sol vous paraît “propre”.
👉 Un artisan utilise un niveau laser ou une règle de 2 m pour détecter les écarts invisibles.

Est-ce que le ragréage va vraiment adhérer sur mon ancien sol ?

✅ Pas si vous négligez le primaire ! C’est l’erreur classique : couler l’enduit directement sur un carrelage brillant, un béton poussiéreux ou une dalle froide. Le primaire est la clé de voûte d’un ragréage durable.
👉 Demandez toujours quelle sous-couche d’accrochage sera utilisée, surtout sur support fermé ou non absorbant.

Est-ce que c’est compatible avec un chauffage au sol ?

✅ Oui, à condition de choisir un ragréage compatible chauffant (faible retrait, bonne conductivité), et de respecter un protocole de remise en chauffe après les travaux.
👉 Le DTU recommande de couper le chauffage 48 h avant et 72 h après coulage pour éviter les fissures de retrait.

Si je rénove une maison ancienne, est-ce que ça peut poser problème ?

✅ Oui, car les sols anciens sont souvent irréguliers, mal isolés ou légèrement mouvants. Le ragréage peut masquer des problèmes… ou les empirer. Il faut d’abord diagnostiquer la portance du support (parquet, dalle, ancien plancher bois).
👉 Un artisan pourra tester la rigidité et adapter la solution (ragréage fibré, chape sèche, plaques OSB).

Le ragréage est discret, mais déterminant. Mieux vaut anticiper ses contraintes que rattraper ses conséquences. Un artisan expérimenté ne se contente pas d’égaliser : il sécurise toute la chaîne du sol.

😉 Le Conseil Habitatpresto : recouvrez un revêtement de sol existant !

Il est tout à fait possible de faire un ragréage sur un ancien carrelage, du parquet ou une dalle en béton non finalisée. C'est une solution efficace pour changer de sol sans tout casser et enfin pouvoir vous offrir ce nouveau carrelage grand format dont vous rêvez tant ! En revanche, un ragréage ne sera pas une option envisageable sur une surface souple, comme de la moquette, du parquet flottant ou du lino. Ils devront donc être déposés au préalable.


📌
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FAQ utile

Quel est le prix de la pose d'un ragréage au m² ?

Le prix de pose d'un ragréage par un professionnel varie entre 20 et 45 €/m². En réalisation soi-même, il faut compter 6 à 8 €/m², hors matériel, soit un sac de 25 kg couvrant environ 5 m² pour 3 à 7 €/m².

Combien de temps entre deux couches de ragréage ?

Après la première couche de ragréage, attendez environ 72 heures avant d'appliquer une seconde couche ou la suite des travaux, afin de garantir un bon séchage et une planéité optimale.

Peut-on laisser un ragréage nu ?

Un ragréage ne doit pas rester nu : il faut toujours prévoir la pose d’un revêtement (carrelage, parquet, résine…) pour protéger la surface et éviter les fissures ou dommages liés à l’usage ou l’humidité.

Peut-on fabriquer un mortier de ragréage soi-même ?

Il est possible de préparer un ragréage à base de ciment, sable et eau, mais les mortiers industriels garantissent adhérence et compatibilité. Un mauvais dosage ou absence de fibres peut provoquer fissures et défauts.

Peut-on faire un ragréage avec du ciment ?

Oui, un ragréage ciment-sable est possible, mais attention : sans fibres et adjuvants, il est moins résistant. Il exige un dosage précis et une préparation rigoureuse pour un bon résultat.

Combien de litres d'eau pour 25 kg de ragréage ?

Pour un sac de 25 kg de ragréage, suivez les indications du fabricant (souvent environ 5 à 6 L). Un dosage correct garantit une planéité optimale et une prise sans défaut.

Combien de m² avec un sac de ragréage ?

Un sac de 25 kg couvre environ 5 m² pour une épaisseur de 3–10 mm. Ce rendement varie selon l'épaisseur finale et la nature du support.

Combien de sacs de ragréage pour 10 m² ?

Pour couvrir 10 m², comptez environ 2 sacs de 25 kg, sur la base de 5 m² par sac, pour une épaisseur standard de 3–10 mm.

Combien de sacs de ragréage pour 20 m² ?

Pour 20 m², prévoyez environ 4 sacs de 25 kg. Ajustez selon l'épaisseur souhaitée et les recommandations du fabricant.

Combien de sacs de ragréage pour 30 m² ?

Pour 30 m², comptez environ 6 sacs de 25 kg, pour assurer une épaisseur uniforme de ragréage sur toute la surface.

Combien de sacs de ragréage pour 50 m² ?

Pour couvrir 50 m², prévoyez environ 10 sacs de 25 kg, en fonction de l'épaisseur et de l'état du sol existant.

Peut-on faire un ragréage sur un ragréage ?

Oui, si la première couche est bien sèche et adhérente. Poncez légèrement, appliquez un primaire puis une seconde couche pour renforcer l’uniformité ou modifier l’épaisseur.

Faut-il faire un ragréage sur carrelage ?

Oui, un ragréage est recommandé sur carrelage ancien si le support est propre, dégraissé, et après application d’un primaire. Cela permet une surface plane pour tout nouveau revêtement.

Quelle est la différence entre un ragréage autolissant et un autonivelant ?

Le ragréage autolissant convient aux petites irrégularités et s’étale sans effort. Le ragréage fibré (autonivelant) contient des fibres, adapté aux défauts importants notamment sur supports souples, et est plus technique et coûte 20 % de plus.

Références :

 ✅ Article validé par ...

Nom de l'artisan
Sevcet

Référent technique

Avec une expérience significative dans le domaine de la rénovation, j'ai évolué en tant que référent technique après avoir exercé en tant qu'artisan. Mon expertise me permet de vous conseiller et de vous guider efficacement dans tous vos projets de rénovation, en mettant l'accent sur la qualité et l'efficacité.

Lexique utile

  • Adhérence au support (primaire) : L’adhérence est la capacité du mortier de ragréage à se fixer durablement au support. Elle est optimisée par l’application préalable d’un primaire d’accrochage, obligatoire sur supports poreux ou carrelés.
  • Bombe carbure (test d'humidité) : Appareil de mesure de l’humidité résiduelle dans une dalle béton avant ragréage. Un taux trop élevé interdit la pose sans pare-vapeur, sous peine de désordres graves (décollement, fissuration).
  • Consommation au m² par mm d'épaisseur : Donnée technique du mortier de ragréage exprimant la quantité nécessaire pour 1 mm d’épaisseur sur 1 m². Elle permet de calculer précisément le nombre de sacs à prévoir.
  • Epaisseur minimale de ragréage : L’épaisseur minimale est en général de 3 mm pour les produits classiques. En dessous, le mortier risque de se désolidariser du support. Elle conditionne la faisabilité technique du projet.
  • Garanties décennales applicables : Tout ragréage exécuté par un professionnel RGE entre dans le champ d’application de la garantie décennale, couvrant les désordres compromettant la stabilité ou la destination d’usage du sol.
  • Lisseuse métallique : Outil manuel utilisé pour étaler et lisser le mortier de ragréage de façon uniforme. Une maîtrise technique est requise pour garantir une surface plane et sans surépaisseur.
  • Mortier fibré de nivellement : Mortier enrichi de fibres, utilisé en ragréage pour supports déformables ou irréguliers (planchers bois, anciens revêtements). Il offre une meilleure résistance mécanique et flexibilité.
  • Mortier de ragréage autolissant : Mortier fluide qui s’étale naturellement à la surface du sol sous l’effet de la gravité. Idéal pour petites irrégularités, il requiert une planéité initiale suffisante et un support rigide.
  • Plan de calepinage préparatoire : Schéma anticipant les zones de ragréage à forte ou faible épaisseur. Il évite les erreurs de dosage et permet d’optimiser les coupes, seuils et jonctions futures.
  • Primaire d’adhérence : Produit appliqué avant le ragréage pour favoriser l’ancrage du mortier, notamment sur surfaces fermées (carrelage, béton lissé). Il évite les décollements dans le temps.
  • Règle de maçon 2 m : Outil de contrôle utilisé pour vérifier la planéité obtenue après application du ragréage. Elle doit détecter tout défaut >5 mm sur 2 mètres linéaires (tolérance DTU).
  • Ragréage localisé de reprise : Application ponctuelle de mortier pour combler un défaut isolé de niveau (dépression, bosse). Il est parfois suffisant sur sol globalement sain.
  • Rattrapage d'épaisseur : Technique consistant à ajuster le niveau d’un sol à celui d’un autre revêtement adjacent. Elle est nécessaire pour assurer la continuité des seuils sans marche visible.
  • Surface admissible au ragréage : Tous les supports rigides (béton, chape, carrelage, parquet cloué) peuvent être ragréés. Les supports souples (moquette, lino flottant) doivent impérativement être déposés au préalable.
  • Temps de séchage réglementaire : Délai à respecter entre ragréage et pose du revêtement final. Il varie selon le produit (6 h à 4 jours) et conditionne la bonne tenue du sol final.

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