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Maison écologique : 5 points clés pour bien éco-construire

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Maison écologique : 5 points clés pour bien éco-construire

Fermez les yeux un instant… Imaginez-vous au petit matin, dans une maison baignée de lumière naturelle, chauffée par le soleil et silencieuse comme un cocon — sans surcoût sur vos factures. Et si cette maison existait vraiment, ici et maintenant ? Construire une maison écologique, c’est faire le choix d’un habitat sain, économe et respectueux de la planète. Mais concrètement, qu’est-ce qu’une maison écologique, et comment s’y prendre pour en bâtir une ? Du choix des matériaux à la performance énergétique en passant par les étapes du chantier, cet article vous éclaire sur tout ce qu’il faut savoir pour allier confort, écologie et bon sens… chez soi.

Qu'est-ce qu'une maison écologique ?


La maison écologique est un type de construction qui allie respect de l'environnement, performances énergétiques et santé des habitants. En effet, sa conception et son fonctionnement permettent de réduire son impact environnemental par l'utilisation de matériaux naturels, non polluants et recyclables. Cette construction alternative permet également de réaliser des économies de chauffage et d'électricité avec des équipements fonctionnant aux énergies renouvelables et une isolation performante. Enfin, elle garantit une grande qualité de l'air intérieur par le choix de matériaux non toxiques et un système de ventilation performant.

Vous imaginez déjà votre maison écologique idéale ? Passez du rêve à la réalité avec l’aide de pros qualifiés.

5 points clés pour construire sa maison écologique

Avant toute chose, il faut éviter de chercher compliqué pour se lancer dans la construction de ce type de logement. La maison écologique est en effet basée sur du bon sens et l'utilisation des énergies renouvelables. Qu'elle soit construite en ossature bois ou en béton cellulaire, une maison écologique va au plus simple !


1. Bien définir l'orientation

Il vous faudra intégrer la notion d'emplacement, d'orientation et d'ensoleillement. Le terrain devra donc être analysé pour déterminer le meilleur emplacement pour accueillir l'habitation. Cette étude permettra de profiter au mieux des rayons du soleil et d'anticiper les surchauffes éventuelles en été en prévoyant les équipements adéquats ( brise-soleils, pergolas bioclimatiques ...)

La disposition de votre future maison sera faite en fonction des apports énergétiques du soleil. Le nombre d'ouverture sera calculé pour fournir le plus de chaleur possible mais aussi le plus de luminosité pour bénéficier de la lumière naturelle le plus longtemps possible.

Il sera également envisageable d'utiliser des conduits de lumière, qui apportent la luminosité dans les pièces aveugles. Cela permet d'éviter le recours systématique à l'électricité !

2. Utiliser des énergies renouvelables

L'objectif est également de s'affranchir des énergies combustibles qui coûtent toujours plus cher. Nous avons à notre disposition des énergies présentes dans la nature qui, gratuitement, peuvent permettre de se chauffer, de chauffer l'eau chaude sanitaire ou de produire de l’électricité : chauffe-eau solaire individuel, chauffage solaire combiné ou plancher solaire direct, panneaux photovoltaïques ou même encore climatisation solaire !

Les pompes à chaleur géothermiques ou aérothermiques permettent de se chauffer en utilisant les calories présentes dans la nature, pourquoi s'en passer ?

Marre des factures qui flambent ? Passez au solaire, géothermie ou pompe à chaleur avec un pro qualifié.

3. Opter pour l'inertie thermique pour se protéger des écarts de température

La maison écologique repose également sur des matériaux connus et reconnus pour leurs capacités d'isolants thermiques et acoustiques. Le béton cellulaire, les briques monomur, permettent d'utiliser le principe d'isolation répartie.

Celle-ci respire tout en vous protégeant des grosses chaleurs et des grands froids.

Julien, charpentier dans le 38

"Si vous envisagez une maison écologique, y’a une astuce peu connue que je recommande toujours à mes clients : faites poser une membrane hygrovariable avant de dimensionner vos isolants. La plupart des gens, même les pros, fixent directement leur choix d'isolant biosourcé (comme la ouate ou la fibre de bois), sans anticiper les variations d’humidité saisonnières. Une membrane hygrovariable bien posée, surtout en climat alpin comme ici, permet de dimensionner plus finement l’isolant et d’éviter les surépaisseurs coûteuses. En plus, ça rallonge la durée de vie des matériaux naturels et limite les moisissures en silence, sans que personne s’en rende compte. J’ai eu un cas à Voiron où un client voulait 30 cm de fibre de bois : on a réduit à 24 cm grâce à une membrane bien choisie et posée en continuité, tout en gardant les mêmes perfs thermiques et sans ponts de vapeur. Il a gagné en surface habitable et économisé 4 000 euros. Personne n’en parle, parce que ça demande un vrai boulot de pro pour bien la poser et adapter le système complet autour, mais ça change tout."

4. Isoler pour une maison confortable

Une maison bien isolée est une maison qui conserve la chaleur produite par votre système de chauffage et qui évite au froid de rentrer. L'inverse est aussi observé en été, avec la conservation de pièces fraîches. Pour cette isolation écologique, en privilégiant les isolants naturels, vous optez pour des matériaux non polluants.

Une isolation bien pensée, c’est des milliers d’euros économisés : entourez-vous des bons pros.

5. Bien ventiler la maison écologique

Une maison bien ventilée est une maison qui respire tout en laissant passer suffisamment d'air pour que l'air intérieur soit confortablement renouvelé. Les maisons écologiques étant, par essence, extrêmement bien isolées, celles-ci doivent également être extrêmement bien ventilées.

La ventilation mécanique contrôlée doit pour ce faire être installée par des professionnels pour éviter tous désagréments.


4 types de maisons écologiques


Avant de démarrer votre projet, il est important de savoir qu'il existe quatre sortes de maisons écologiques :


1. La maison positive : produit plus qu'elle ne consomme

La maison positive (BEPOS) produit plus d'énergie qu'elle n'en consomme grâce à des panneaux solaires, une pompe à chaleur, un récupérateur d'eau de pluie, etc. Le surplus d'énergie peut être revendu aux fournisseurs d'énergie.

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2. La maison bioclimatique : s'adapte au climat et à la région

Pour la construction de la maison bioclimatique, les matériaux et les techniques utilisés prennent en compte les contraintes climatiques de la région. Les pièces qui doivent être chauffées sont orientées sud, tandis que les pièces qui doivent rester plus fraîches sont orientées nord.


3. La maison passive : utilise peu de chauffage

La maison passive, aussi appelée "la maison sans chauffage", dépense 90 % de chauffage en moins qu'une maison traditionnelle. En effet, l'orientation, les matériaux utilisés et les équipements suffisent à chauffer l'intérieur. Elle est isolée par l'extérieur, étanche à l'air, dotée d'une ventilation performante et possède un grand nombre de surfaces vitrées placées de façon stratégique.


4. La maison BBC : consomme peu d'énergie

La maison basse consommation ou BBC est construite de façon à ne pas dépasser un certain seuil de consommation d'énergie. La norme BBC est inscrite dans le cadre de la réglementation thermique 2012 et implique que ce type de maison ne dépasse pas 50 KWh d'énergie par m².


Prix d'une maison écologique : jusqu'à 25 % de plus

Le prix d'une maison écologique est de 10 à 25 % supérieur à celui d'une maison traditionnelle. Néanmoins, même si à l'achat elle nécessite un budget plus élevé, ce surplus est largement amorti sur le long terme. En effet, la facture de chauffage ou d'électricité peut être réduite de 50 %, voire plus, par rapport à celle d'une maison classique.


💰

Il faudra donc compter entre 1 100 euros et 3 800 euros le m² pour une maison écologique

Maison passive, bioclimatique ou BBC ? Faites-vous accompagner pour choisir la solution adaptée à votre région.

Quels sont les matériaux pour construire une maison écologique ?


Ce type de maison doit utiliser des matériaux naturels et recyclables.


Pour le gros oeuvre

Pour l'élévation des murs, les fondations, les menuiseries extérieures, la toiture, etc., les matériaux suivants sont privilégiés :

  • Le bois,
  • Le béton cellulaire,
  • Le béton de chanvre,
  • Le parpaing en bois,
  • L'acier,
  • La terre cuite,
  • La brique monomur.


Pour le second oeuvre

Pour l'isolation thermique, les revêtements, les menuiseries intérieures, etc., les matériaux suivants sont privilégiés :

Isolation, matériaux naturels, confort thermique… confiez votre projet à un pro de la construction durable.

Comment construire une maison écologique ? 9 étapes


Il ne s'agit pas d'un chantier anodin. Pour bien réussir votre éco-construction, suivez les étapes suivantes :


1. Trouver le bon terrain

La première étape consiste à trouver le terrain idéal. Une étude de sol est ensuite nécessaire pour garantir la faisabilité du projet. Vérifiez aussi que le raccordement au réseau d'assainissement collectif est possible et étudier les règles d'urbanisme de la commune.

2. Prendre contact avec des professionnels de la construction écologique

Une fois que vous connaissez bien les principes de ce type de construction, il est indispensable de faire appel à une entreprise spécialisée. Un professionnel pourra étudier les possibilités, mais aussi les limites du projet tout en prenant en compte votre budget.


3. Réaliser les plans de la maison

Vous l'avez compris, les plans de votre future maison doivent prendre en compte l'orientation et l'environnement. Si vous maîtrisez parfaitement le sujet, vous pouvez les réaliser vous-même. Sinon, mieux vaut faire appel à un professionnel.


Pour une surface de plancher supérieure à 150 m², vous devrez faire appel à un architecte.


4. Faire une demande de permis de construire

C'est une étape obligatoire pour une nouvelle construction. Envoyez votre demande à votre mairie avant de démarrer les travaux.


📌

N'hésitez pas à consulter notre dossier spécial permis de construire


5. Réaliser les fondations

Une fois que les travaux peuvent commencer, il faut terrasser le terrain pour ensuite creuser et réaliser les fondations.


6. Créer l'ossature et poser la charpente

Votre maison prendra véritablement forme lors de cette étape. L'ossature peut être montée et la charpente installée. Selon les matériaux de la couverture, un professionnel pourra garantir de la bonne tenue de la charpente lors de sa réalisation.


7. Installer l'isolation

Les matériaux écologiques devront être choisis en amont pour que cette étape se déroule sans encombre.


8. Mettre en place les équipements

Des professionnels pourront installer les équipements à haute performance énergétique pour votre futur logement : pompe à chaleur, capteurs solaires, etc.


9. Réaliser les finitions

Plomberie, électricité, pose des revêtements des sols, etc., seront les derniers travaux à effectuer.

Chaque étape compte : entourez-vous d’artisans de confiance pour un chantier serein et écologique.

Le vrai du faux sur la maison écologique

Est-ce vrai qu’une maison écologique coûte toujours plus cher à construire ?

❌ Faux : Une maison écologique n’est pas systématiquement plus chère à la construction si elle est bien pensée dès la conception.

Les matériaux biosourcés et les systèmes performants représentent un investissement, mais ils sont souvent compensés par des aides financières et des économies à long terme sur l’énergie.

💡 Pensez global : une conception bioclimatique peut réduire les besoins en chauffage sans surcoût majeur.

Peut-on vraiment construire une maison 100 % écologique ?

❌ Faux : Il est pratiquement impossible d’avoir une maison totalement “zéro impact”, mais on peut fortement réduire son empreinte.

Même les constructions les plus vertueuses nécessitent de l’énergie et des ressources, mais des choix intelligents (matériaux locaux, recyclables, sobriété énergétique) permettent de tendre vers une écoconstruction.

💡 Visez le “mieux” plutôt que le “parfait” : chaque amélioration compte dans une démarche durable.

Faut-il toujours utiliser du bois pour qu’une maison soit écologique ?

❌ Faux : Le bois est un excellent matériau, mais ce n’est pas le seul compatible avec une démarche écologique.

La terre crue, la paille, la brique monomur ou encore les isolants naturels offrent des alternatives performantes, selon le climat et la disponibilité locale.

💡 Choisissez les matériaux en fonction du contexte local, de leur cycle de vie et de leur inertie thermique.

Doit-on forcément installer des panneaux solaires pour qu’une maison soit écolo ?

❌ Faux : Une maison peut être très performante sans panneaux solaires si elle mise sur l’isolation, l’orientation et la ventilation naturelle.

L’efficacité énergétique vient d’abord de la réduction des besoins, pas uniquement de la production d’énergie renouvelable.

💡 Priorisez l’enveloppe thermique avant d’investir dans des équipements : c’est le levier le plus rentable.

Est-ce vrai que les maisons écologiques vieillissent mal ?

❌ Faux : Une maison écologique bien construite peut durer aussi longtemps, voire plus, qu’une construction conventionnelle.

Les matériaux naturels, bien protégés et mis en œuvre dans les règles de l’art, offrent robustesse, respirabilité et facilité d’entretien.

💡 Faites appel à des artisans qualifiés pour garantir la durabilité des matériaux écologiques.

Vous avez maintenant toutes les cartes en main. Passez à l’action et construisez un habitat durable, rentable et sain !


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Fort heureusement, pour réduire la note, cette construction ouvre la porte à certaines aides de l'Etat : aides locales, prêt à taux zéro, exonération de la taxe foncière pendant 5 ans et un bonus de constructibilité de 30 % maximum, alors profitez-en !

Références :

Pour prolonger votre lecture :

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Lexique utile

  • RE 2020 : La RE 2020 est la réglementation environnementale en vigueur pour les constructions neuves. Elle impose des exigences de performance énergétique et de réduction de l’empreinte carbone. Son respect conditionne l'obtention du permis de construire et l’éligibilité aux aides publiques.
  • Étanchéité à l’air (Q4Pa-surf) : L’étanchéité à l’air mesure la quantité de fuites d’air d’un bâtiment. Elle est exprimée en m³/h.m² sous 4 Pa. Un bon résultat est indispensable pour valider la RE 2020 et optimiser la performance thermique.
  • Pont thermique : Un pont thermique est une zone de la construction où l’isolation est rompue, provoquant des pertes de chaleur. Il compromet la performance énergétique globale et peut générer des désordres (condensation, moisissures).
  • Éco-matériau : Un éco-matériau est un matériau dont l’impact environnemental est réduit, souvent biosourcé, recyclé ou recyclable. Son usage favorise un meilleur bilan carbone du bâtiment, critère clé de la RE 2020.
  • Énergie grise : L’énergie grise correspond à l’énergie nécessaire pour produire, transporter, poser et entretenir un matériau. C’est un indicateur majeur dans le calcul de l’impact carbone d’une construction selon la RE 2020.
  • Biosourcé : Un produit biosourcé est fabriqué à partir de matières premières renouvelables d’origine biologique (chanvre, bois, lin…). Il est souvent valorisé dans les CCTP pour sa faible énergie grise et sa contribution à la décarbonation.
  • Test d’infiltrométrie : Le test d’infiltrométrie consiste à mesurer l’étanchéité à l’air d’un bâtiment à l’aide d’une porte soufflante (Blower Door). Il est obligatoire pour attester de la conformité RE 2020.
  • Triple vitrage : Le triple vitrage est un vitrage composé de trois couches de verre séparées par des lames d’air ou de gaz. Il améliore l’isolation thermique et acoustique, et réduit les besoins de chauffage.
  • PAC (Pompe à chaleur) : Une PAC est un système thermodynamique qui capte les calories de l’air, de l’eau ou du sol pour chauffer la maison. Elle offre un excellent rendement énergétique (COP) et est souvent utilisée dans les projets RE 2020.
  • COP (Coefficient de performance) : Le COP mesure le rapport entre l’énergie restituée et l’énergie consommée par une pompe à chaleur. Un COP élevé (>3) signifie un bon rendement et une économie d’énergie significative.
  • Besoins bioclimatiques (Bbio) : Le Bbio est un indicateur réglementaire exprimant la qualité de conception d’un bâtiment sur le plan énergétique, indépendamment des systèmes (chauffage, ventilation). Il doit être inférieur à un seuil fixé par la RE 2020.
  • Ventilation double flux : Ce système extrait l’air vicié et insuffle de l’air neuf préchauffé grâce à un échangeur thermique. Il limite les pertes de chaleur et améliore la qualité de l’air intérieur.
  • Géothermie : La géothermie est une source d’énergie renouvelable qui exploite la chaleur du sous-sol. Intégrée à une PAC, elle permet un chauffage durable et performant, notamment en maison écologique.
  • Déphasage thermique : Le déphasage thermique est le temps que met la chaleur à traverser un matériau. Un déphasage élevé (souvent via l’isolation biosourcée) améliore le confort d’été.
  • Isolant fibreux : Ce type d’isolant (laine de bois, de chanvre, de coton) offre une bonne résistance thermique et un excellent confort d’été. Il est souvent utilisé dans les maisons écologiques pour ses qualités hygrothermiques.
  • Puits canadien : Le puits canadien est un dispositif de ventilation naturelle qui préchauffe ou rafraîchit l’air entrant grâce à un conduit enterré. Il réduit les besoins de chauffage ou de climatisation.
  • Étude thermique réglementaire : Ce document obligatoire analyse la performance énergétique d’un bâtiment neuf. Elle permet de vérifier la conformité aux exigences RE 2020 et d’optimiser les choix constructifs.
  • Label Effinergie : Le label Effinergie valorise les bâtiments à haute performance énergétique (BBC, BEPOS). Il atteste d’un niveau supérieur à la réglementation en vigueur.
  • Ossature bois : Une ossature bois est une structure porteuse en bois sur laquelle sont fixés les isolants et parements. Elle permet une construction rapide, légère et très performante thermiquement.
  • Perméabilité à la vapeur d’eau (Sd) : L’indice Sd mesure la capacité d’un matériau à laisser passer la vapeur d’eau. Il est déterminant dans le choix des pare-vapeur pour éviter les désordres liés à l’humidité.

FAQ utile

Quels sont les trois principes d'une maison écologique ?

Les trois piliers d'une maison écologique, ou habitat durable, sont : réduction de la consommation d'énergie, utilisation de matériaux naturels ou recyclés, et optimisation de l'impact environnemental. Ces principes visent à construire de manière responsable, tout en assurant un confort thermique optimal et une empreinte carbone minimale.

Qu'est-ce qu'une maison écologique ?

Une maison écologique, aussi appelée maison verte ou durable, est une habitation conçue pour minimiser son impact environnemental. Elle utilise des énergies renouvelables, des matériaux sains et favorise une faible consommation énergétique, tout en assurant le bien-être de ses habitants sur le long terme.

Quelle est la maison la plus écologique ?

La maison la plus écologique est la maison passive. Elle consomme jusqu'à 90 % d'énergie en moins qu’une construction classique grâce à une isolation renforcée, une étanchéité à l’air parfaite et des apports solaires optimisés. Elle est souvent associée à des matériaux biosourcés et des équipements basse consommation.

Quels sont les inconvénients d'une maison écologique ?

Les principaux désavantages d'une maison écologique sont : le coût de construction initial plus élevé, la disponibilité parfois limitée des matériaux écologiques, et la complexité technique des systèmes. Cependant, ces freins sont souvent compensés par des économies d'énergie à long terme et une meilleure qualité de vie.

Quel budget pour une maison écologique ?

Le prix d’une maison écologique varie selon les matériaux et les équipements. En moyenne, comptez entre 1 800 € et 2 500 € par m². Une maison passive peut monter jusqu’à 3 000 €/m². Ce surcoût initial est souvent amorti en 10 à 15 ans grâce aux économies d’énergie et aides financières disponibles.

Quels sont les principaux problèmes écologiques ?

Les problèmes écologiques majeurs incluent : le réchauffement climatique, la pollution de l'air et de l'eau, la déforestation, la perte de biodiversité et l'épuisement des ressources naturelles. Comprendre ces enjeux est crucial pour adopter des comportements durables au quotidien et préserver notre environnement.

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