Vous souhaitez recruter un apprenti pour vos chantiers du bâtiment ou vous êtes candidat à l'apprentissage ? Mais alors, combien coûte un apprenti du bâtiment, et comment calculer sa rémunération sans se noyer dans les pourcentages du SMIC et les grilles de salaires ? Sachez que la rémunération est basée sur un certain pourcentage du SMIC. C'est ainsi que, en fonction de l'âge et de l'ancienneté, le salaire d'un apprenti du bâtiment va s'élever entre 720,72 € et 1 801,80 € depuis le 1ᵉʳ novembre 2024.
L’apprentissage s’adresse aux jeunes entre 16 et 29 ans révolus (contre 25 ans révolus avant le 1ᵉʳ janvier 2019) souhaitant entreprendre une formation en vue d’acquérir un diplôme professionnel. L’élève conclut un contrat d’apprentissage avec un employeur et devient salarié de l’entreprise dans le cadre de sa formation. Sa durée peut varier entre 1 et 3 ans. Découvrez ce qui change avec la réforme de 2020.
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Recruter et former un apprenti, c’est préparer l’avenir de votre entreprise. Pour que cet avenir soit solide, il vous faut aussi des chantiers concrets dès à présent. Habitatpresto Pro, c’est la garantie de demandes sérieuses et qualifiées pour développer votre activité !
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Salaire d’un apprenti du bâtiment en 2025 : selon l’âge et l’année de formation
Le salaire d’un apprenti du bâtiment est basé sur un pourcentage du montant du SMIC en vigueur, soit 1 801,80 € brut mensuel depuis le 1ᵉʳ novembre 2024, pour 151,67 heures (base 35 heures). Cette règle ne s'applique pas si les accords collectifs applicables dans l’entreprise prévoient une rémunération supérieure au SMIC.
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Dernière actu :
Après une hausse mécanique de 1,13 % au 1ᵉʳ janvier 2024, le SMIC a de nouveau été revalorisé de manière anticipée depuis le 1ᵉʳ novembre 2024, cette fois, de 2 %. Destinée à "soutenir le pouvoir d'achat des salariés" mis à mal malgré la "décélération de l'inflation", cette hausse mécanique a impacté le salaire minimum mensuel brut des apprentis. Le SMIC a connu une augmentation de près de 35 € brut par mois, soit 27,61 € net. Ainsi, pour un temps plein, le SMIC mensuel brut est passé de 1 766,92 € à 1 801,80 €, soit un salaire mensuel net de 1 426,30 €, contre 1 398,69 € jusqu'alors. Le taux horaire brut passe, lui, de 11,65 € à 11,88 €, soit un taux fixé à 9,40 € net par heure.
Après 29 ans, il est encore possible d'embaucher un apprenti dans le bâtiment si ce dernier :
- prépare un projet de création ou de reprise d’entreprise, impliquant l'obtention d'un diplôme ;
- bénéficie de la qualité de travailleur handicapé ou de sportif de haut niveau ;
- n'a pas obtenu son diplôme et signe un nouveau contrat d'apprentissage avec un autre employeur pour se présenter de nouveau à l'examen.
Salaire minimum mensuel brut d'un apprenti du BTP selon la convention collective des ouvriers du bâtiment
Année du contrat | 26 ans et plus | |||
720,72 € 40 % du SMIC | 900,90 € 50 % du SMIC | 990,99 € 55 % du SMIC | 1 801,80 € 100 % du SMIC | |
900,90 € 50 % du SMIC | 1 081,08 € 60 % du SMIC | 1 171,17 € 65 % du SMIC | 1 801,80 € 100 % du SMIC | |
3ᵉ année | 1 081,08 € 60 % du SMIC | 1 261,26 € 70 % du SMIC | 1 441,44 € 80 % du SMIC | 1 801,80 € 100 % du SMIC |
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Bon à savoir :
Un apprenti de moins de 21 ans amené à passer un palier d’âge en cours d’année verra son salaire augmenter le premier jour du mois suivant son anniversaire.
👉 Exemple : un apprenti de 17 ans en première année est payé 720,72 €, soit 40 % du SMIC. Le jour de son anniversaire, le 18 novembre, il aura 18 ans et pourra toucher non plus 40, mais 50 % du SMIC. Son salaire augmentera ainsi à compter du 1ᵉʳ décembre.
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Majoration du salaire d’un apprenti : les cas particuliers
Certains cas particuliers prévoient une majoration du salaire. C’est le cas si le même apprenti effectue plusieurs contrats successifs, ou si la durée de formation est réduite.
Majoration de salaire de 15 points pour une formation connexe ou complémentaire
Dès lors qu'un apprenti s'engage dans une formation complémentaire en lien direct avec son premier diplôme obtenu en apprentissage, il peut bénéficier d’une rémunération plus élevée. Une majoration de 15 points du salaire réglementaire est prévue, mais uniquement si les 3 conditions suivantes sont remplies :
- la durée du nouveau contrat d’apprentissage est inférieure ou égale à un an,
- le diplôme ou titre préparé est du même niveau que celui déjà obtenu,
- la formation suivie s'inscrit dans la poursuite d'études ou est en rapport direct avec la qualification précédemment obtenue, comme un CAP plaquiste après avoir acquis un CAP peinture.
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Important :
Cette augmentation s’applique uniquement au salaire réglementaire minimal défini par l’article D.6222-26 du Code du travail. Elle ne concerne pas les rémunérations prévues par la convention collective ou un accord d’entreprise, qui peuvent déjà être plus avantageuses pour l’apprenti. Ainsi, c'est toujours le salaire le plus élevé qui doit être appliqué à l'apprenti.
Par ailleurs, la majoration de 15 points ne s'applique pas aux apprentis dont le salaire réglementaire atteint déjà au moins 100 % du SMIC, sauf pour ceux reconnus travailleurs handicapés (RQTH), qui peuvent en bénéficier.
Majoration du salaire en cas de réduction de la durée de formation
Si la durée de la formation choisie par l’apprenti est inférieure à la durée de formation prévue dans le cadre du cycle qui prépare à la qualification, on considérera que le jeune apprenant a accompli la durée d’apprentissage nécessaire pour terminer le cycle.
De ce fait, un jeune préparant une formation 2 en 1 (master ou licence) verra son salaire calculé sur la base de la deuxième année d’exécution de son contrat d’apprentissage.
Majoration de 15 points pour un apprenti en situation de handicap
Cette majoration s’applique pour les jeunes en situation de handicap nécessitant une année de formation supplémentaire.
Enfin, dans certaines régions, les accords collectifs permettent aux apprentis de bénéficier de gratifications salariales supplémentaires.
Les règles de rémunération évoluent vite et vos coûts salariaux aussi. Assurez-vous une activité constante pour les absorber : Habitatpresto Pro vous aide à remplir votre planning avec des chantiers réels et qualifiés !
Les apprentis en formation connexe ou complémentaire
Qu’est-ce qu’une formation connexe ?
On parle de « formation connexe » ou complémentaire, lorsqu’un apprenti opte pour une nouvelle formation en apprentissage. Il s’agit d’une seconde formation qu’un jeune apprenti choisit de suivre après avoir obtenu un premier diplôme. Cette seconde formation s’inscrit dans la lignée de la première.
Quels changements sur la grille de salaire ?
Selon la convention collective de droit commun, il est prévu que les salaires des apprentis qui suivent une formation connexe successivement à leur premier diplôme obtenu, suivent une grille spécifique.
Depuis le 1ᵉʳ novembre 2024, avec la hausse du SMIC de 2 %, les grilles de salaires des apprentis du bâtiment ont été directement impactées.
Salaire minimum mensuel brut d'un apprenti du bâtiment en formation connexe
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2ᵉ année |
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Important :
Un apprenti est exonéré des charges sociales patronales et des cotisations sociales salariales, dans la limite de 50 % du SMIC en vigueur, pour les contrats d'apprentissage conclus à partir du 1ᵉʳ mars 2025 (contre 79 % du SMIC pour les contrats ayant débuté avant le 1ᵉʳ mars 2025). Son salaire net est donc équivalent à son salaire brut.
🔍 Le vrai du faux
Est-ce vrai qu’un apprenti est toujours payé au SMIC ?
❌ Faux...
La rémunération d’un apprenti dépend de son âge, de son année de formation et de la branche professionnelle, pas uniquement du SMIC. Dans le bâtiment, des accords prévoient souvent des salaires supérieurs aux minimas légaux, notamment dès la 2ᵉ ou la 3ᵉ année.
💡 Consultez les grilles de salaires de la convention collective BTP pour appliquer la bonne rémunération selon le profil.
Faut-il augmenter un apprenti qui change de tranche d’âge ?
❌ Faux...
Ce n’est pas facultatif : dès qu’un apprenti atteint un palier d’âge (18, 21 ou 26 ans), son salaire doit être réévalué dès le mois suivant. C’est une obligation légale, même si l’apprenti reste dans la même année de formation.
💡 Surveillez la date d’anniversaire de l’apprenti pour ajuster automatiquement sa rémunération.
Un apprenti coûte-t-il toujours moins cher qu’un salarié ?
❌ Faux...
Ce n’est pas systématique : selon son âge et son ancienneté, un apprenti peut atteindre jusqu’à 100 % du SMIC, voire plus selon la convention collective. Mais les exonérations de charges et les aides financières compensent largement ce coût pour l’entreprise.
💡 Évaluez le coût global en tenant compte des aides, exonérations et de la durée du contrat d'apprentissage.
✅ PME du bâtiment : offrez à l'apprenti les mêmes droits qu’aux autres salariés de l’entreprise !
Un apprenti n’est pas « en marge » de vos équipes : une fois son contrat signé, il bénéficie des mêmes droits qu’un salarié classique. Congés payés, protection sociale, rémunération et respect du temps de travail : rien ne doit lui être retiré pour que la collaboration avec votre apprenti soit fructueuse. Le considérer pleinement comme un collaborateur à part entière, c’est éviter les abus et renforcer sa confiance dans l’entreprise.
💡 Un apprenti bien intégré et respecté sera plus motivé, plus impliqué..., et peut devenir un futur salarié fidèle à votre entreprise.
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Pour aller plus loin :
Recrutement apprenti : les 4 erreurs à ne pas faire
🗣️ L'avis du Pro : la reconversion, se former autrement aux métiers du bâtiment
Depuis quelques années, les profils en reconversion professionnelle vers les métiers du bâtiment représentent une part d’apprentis de plus en plus importante au sein du BTP CFA Allier, situé à Bellerive-sur-Allier (03). À terme, ce vivier de talents peut-il être une solution face à la pénurie de candidats qualifiés dans le secteur du bâtiment ?
▶️ [Témoignage] Découvrez, en vidéo, en quoi la reconversion professionnelle peut être une voie intéressante pour se former aux métiers du bâtiment !
Reconversion vers les métiers manuels : une voie qui séduit de plus en plus
"C'est un public de plus en plus nombreux dans les profils qui se dirigent vers l'apprentissage. Cette tendance est favorisée, d'une part, par l'allongement de la limite d'âge pouvant avoir accès à l'apprentissage puisqu'avec la précédente réforme, on est passé de 26 ans à 30 ans. D'autres dispositifs complémentaires permettent aussi d'aller au-delà même de ses limites d'âge. Pas forcément par la voie de l'apprentissage, mais c'est également possible, avec les clauses dérogatoires de création ou reprise d'entreprise, par exemple. C’est aussi le cas des travailleurs en situation de handicap, pour qui cette limite d’âge fixée à 30 ans n'existe pas", souligne le directeur du BTP CFA Allier, Jean-Jacques Devaux, contacté par nos soins.
De ce fait, "c’est un nouveau public qu'on voyait très peu auparavant dans nos formations et qu’on essaie de capter. On constate une augmentation substantielle, mais qui n'est pas suffisante ou comparable avec les baisses de flux d'effectifs de jeunes qu'on peut connaître au niveau national, notamment dans des départements comme le nôtre (Allier, NDLR) qui, démographiquement, sont en déclin. Ces profils ne compensent pas les pertes de jeunes sortis de troisième qui viennent à l'apprentissage", reconnaît-il.
Une grande diversité de profils : jeunes comme plus expérimentés
Cette tendance se vérifie malgré tout au niveau du nombre d’inscrits. "Alors qu’on était plutôt sur 2 ou 3 parcours par an, il y a 10 ans en arrière, le CFA accueille désormais chaque année plusieurs dizaines de personnes en reconversion professionnelle, qui sont aussi bien des hommes que des femmes", insiste le chef d'établissement.
"C’est difficile d’avoir des statistiques très précises, puisque la reconversion concerne un large panel de profils, avec une grande hétérogénéité de publics. On va avoir des personnes qui ont 35 ou 40 ans, parfois même au-delà. Mais on a aussi beaucoup de jeunes de 22, 23 ou 25 ans qui vont avoir un parcours scolaire sur du supérieur ou qui sont passés par différents métiers, différentes formations professionnelles et qui vont avoir mis un petit peu de temps à trouver leur voie".
Et d’ajouter : "On note aussi une augmentation du nombre de personnes qui recherchent un complément de parcours de formation sur quelques dizaines ou centaines d’heures, pour passer un diplôme en candidat libre, par rapport à un projet personnel qui est généralement un peu moins défini ou un peu plus incertain. La personne reste salariée de l’entreprise, mais a une certaine appétence pour des métiers du bâtiment et essaie de se professionnaliser, mais pas forcément avec un projet complètement abouti. Elle se cherche un petit peu, essaie de se jauger et de voir sa capacité à obtenir un diplôme. Et si elle y arrive, elle a la possibilité de franchir le cap et peut envisager de se mettre à son compte en s’installant comme entrepreneur. Ce sont aussi des profils qu’on ne retrouvait pas, il y a quelques années de là".
Vers quels métiers les apprentis en reconversion se tournent-ils ?
Avec des formations et métiers davantage plébiscités par les apprentis ? "Ça reste très variable. D’une manière générale, le domaine de la finition attire pas mal de profils dans ce cadre-là. On en retrouve aussi beaucoup de personnes en plomberie-chauffage. Certains se tournent aussi vers la menuiserie : les métiers du bois sont des métiers de passion, que les gens peuvent pratiquer chez eux, au départ à titre amateur, avant d’avoir l’envie de se professionnaliser. On a aussi des personnes en reconversion dans le domaine de l’électricité, mais ça peut toucher tous les métiers et tous les secteurs", assure le directeur du BTP CFA Allier.
Une solution pour faire face aux difficultés de recrutement ?
Pour autant, cet engouement récent pour la reconversion professionnelle n'est pas suffisant pour répondre aux besoins de compétences et de main-d’œuvre qualifiée, notamment dans les métiers en tension, qui sont nombreux dans le secteur du bâtiment.
"Ce n'est pas parce qu’on remplit nos sections et qu’on est stable au niveau de notre capacité à former, qu'il n'y a pas un déficit au niveau du marché de l'emploi, localement comme à l’échelle nationale. Parce que, depuis des années, on ne forme pas forcément suffisamment de jeunes pour compenser le turn-over dans les entreprises. C'est lié à la fois aux départs à la retraite, mais aussi à certains métiers et à la fidélisation complexe des jeunes sur le long terme. Et puis, il y a aussi des aspects de fluctuation. Je pense notamment à la recrudescence des épisodes climatiques violents (tempêtes, grêle, inondations...) qui a des répercussions importantes sur les besoins en main-d’œuvre des entreprises du bâtiment sur le territoire national. C'est le cas notamment dans la couverture ou le second œuvre (plaquistes, peintres en bâtiment...), qui sont fortement impactés", énumère-t-il.
Un public investi et motivé
Quoi qu’il en soit, "c'est un public intéressant qui, grâce à ses expériences antérieures, va se former différemment et généralement plus vite. Ces jeunes, au lieu de les avoir 2 ans en formation, passent seulement un an au CFA ou peut-être 2 ans, mais pour préparer deux diplômes, au lieu de les avoir quatre ans, comme c'est le cas pour un jeune sorti de troisième. D’un point de vue pédagogique, il s’agit de publics plus exigeants, qui vont travailler plus vite et apporter de l'hétérogénéité dans les classes. Cette diversité de profils n'est pas négative, bien au contraire, mais demande parfois une adaptation de nos formations".
Néanmoins, "entre un jeune en formation qui a 15 ou 16 ans et a encore l'esprit un peu scolaire, et quelqu'un qui arrive à 25 ou 30 ans, avec un projet déjà bien défini, un parcours de vie, qui est parent, qui a été salarié pendant une dizaine d'années dans une entreprise et qui est en reconversion professionnelle, l'objectif n'est pas le même. De tout cela, il faut en tirer le positif, mais ça peut aussi avoir des aspects contraignants pour les formateurs, qui ont à gérer cet écart au sein d'un même groupe de formation", constate Jean-Jacques Devaux.
📊 En chiffres :
L'un des baromètres 2025 du CCCA-BTP, publié fin juillet 2025 et centré sur la vie des entreprises (BVE), montre que 76 % des entreprises, sur les 8 800 qui ont répondu à l'enquête, estiment avoir été bien accompagnées par le CFA lors de la formation de l'apprenti, tandis que 80 % envisagent de former un nouvel apprenti avec le même CFA. Les résultats de l'étude montrent aussi que les entreprises comptent "sur les apprentis pour porter l'innovation dans le bâtiment", que ce soit sur les méthodes ou les matériaux utilisés.
De plus en plus de profils en reconversion arrivent sur le marché. Pour intégrer efficacement vos futurs salariés, il vous faut de la visibilité et du travail régulier. Habitatpresto Pro vous permet de gagner du temps sur votre prospection tout en maintenant vos équipes occupées !
👷 Le Conseil du Pro : transmettez les savoir-faire de votre entreprise !
Chefs d'entreprise, recruter un jeune en contrat d'apprentissage offre de nombreux avantages. C'est la possibilité de former, transmettre vos connaissances et vos savoir-faire à un jeune motivé, le tout à moindre coût. Pensez-y ! Par ailleurs, si votre apprenti répond à toutes vos attentes, pourquoi ne pas préparer votre passation en douceur et anticiper une éventuelle transmission d'entreprise ?
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Les questions fréquentes
Est-ce qu'un jeune en apprentissage coûte cher à une entreprise ?
Un apprenti majeur peut-il être payé moins qu’un mineur ?
Peut-on baisser le salaire d'un apprenti s'il redouble ?
Faut-il forcément attendre la rentrée scolaire pour recruter un apprenti ?
Faut-il avoir un diplôme pour encadrer un apprenti ?
Peut-on licencier un apprenti en cas de problème ?
Un apprenti peut-il travailler sur tous les types de chantiers ?
Références :
- "Salaire apprenti : quelle rémunération ?", Contrat d’apprentissage
- "Quel est le salaire d'un apprenti dans le BTP en 2025 ?", BTP CFA Hauts-de-France
- "Devenir apprenti du bâtiment", BTP CFA Provence Alpes Côte d'Azur
- "Le SMIC", Urssaf
- "Embaucher un alternant en contrat d'apprentissage", Urssaf
- "Contrat d'apprentissage", Service Public
- "Salaire d'un apprenti dans le BTP", Alternance professionnelle
- "Ces métiers clés où les entreprises du bâtiment peinent à recruter", Batiactu
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