Entreprise du bâtiment : les jours et heures ou vous pouvez faire du bruit

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Entreprise du bâtiment : les jours et heures ou vous pouvez faire du bruit

Sur un chantier, les nuisances sonores sont l’une des premières sources de tensions avec le voisinage. De plus en plus d’entreprises du bâtiment se retrouvent confrontées à des plaintes en raison de travaux bruyants. Dans ce contexte, connaître les horaires légaux autorisés pour faire du bruit et les marges de tolérance n’est pas un simple rappel réglementaire : c’est un outil de prévention des conflits, de protection juridique... et de bonne gestion de chantier. Pour éviter les amendes, les litiges, les retards ou l’arrêt d’un chantier, mieux vaut anticiper et maîtriser les règles dès le départ que devoir gérer les conséquences après coup.

Horaires pour faire du bruit lié à des travaux : que dit la loi ?

Les activités bruyantes liées à des travaux ou chantiers sont encadrées par la réglementation sur les nuisances sonores de voisinage. Ces règles visent à protéger la tranquillité des riverains, tout en tenant compte des impératifs techniques des entreprises et professionnels du bâtiment.

En pratique, des plages horaires autorisées sont fixées par arrêté préfectoral ou municipal. Elles varient parfois légèrement selon les communes, mais un cadre général s’applique sur la majeure partie du territoire français.

Heures légales bruit travaux chantier : quelle réglementation ?

En l’absence de réglementation locale spécifique, les travaux bruyants ou générateurs de vibrations (marteaux-piqueurs, engins de chantier, découpe...) sont autorisés aux horaires suivants :

  • Du lundi au vendredi : de 7h à 22h,
  • Le samedi : de 8h à 20h,
  • Le dimanche et les jours fériés : interdits, sauf autorisation exceptionnelle.

Ces horaires concernent les chantiers professionnels réalisés en extérieur (voirie, façade, terrassement...) comme en intérieur (logement individuel, immeubles, copropriétés).

Des arrêtés municipaux ou préfectoraux peuvent restreindre davantage ces plages horaires, notamment dans les grandes villes ou les zones résidentielles sensibles.


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Travaux professionnels : à partir de quelle heure peut-on faire du bruit ?

Pour les entreprises et artisans du bâtiment, les travaux bruyants sont en principe autorisés à partir de 7h du matin du lundi au vendredi. Cette règle générale s’applique aux chantiers extérieurs comme aux interventions en intérieur. Elle peut toutefois être renforcée par des arrêtés municipaux imposant un démarrage plus tardif, notamment en zone résidentielle. Avant le début d’un chantier, il est donc essentiel de vérifier la réglementation locale afin d’éviter toute infraction ou plainte de voisinage.

À quelle heure peut-on faire du bruit le samedi ?

Le samedi, les travaux bruyants ou générateurs de vibrations sont généralement autorisés à partir de 8h pour les professionnels du bâtiment. Cette plage horaire plus restrictive vise à préserver le repos des riverains en fin de semaine. Comme en semaine, certaines communes peuvent fixer des horaires encore plus limités selon le contexte local. Pour assurer le bon déroulé du chantier, il est recommandé d’intégrer cette contrainte dès la planification des interventions.

Jusqu'à quelle heure une entreprise du bâtiment peut-elle faire du bruit le soir sur un chantier ?

Une entreprise du bâtiment peut légalement émettre du bruit jusqu’à 22h en semaine et jusqu’à 20h le samedi, à condition de respecter les niveaux sonores tolérés et de ne pas provoquer de trouble anormal du voisinage.

Au-delà de ces horaires, tout bruit de chantier est considéré comme abusif, sauf si une dérogation spécifique a été accordée par la mairie ou la préfecture (par exemple pour un chantier urgent ou de nuit).

En cas de non-respect, les autorités compétentes - la police municipale pour des chantiers en extérieur ou la police nationale pour des travaux dans des logements ou bâtiments privés - peuvent intervenir et sanctionner l’entreprise.

⚠️
Important :
Avant d’intervenir tôt le matin, tard le soir ou pendant un jour férié, vérifiez les arrêtés locaux et, si besoin, demandez une dérogation en bonne et due forme.

Dérogations horaires pour travaux professionnels : les démarches et autorisations nécessaires

Lorsqu’un chantier bruyant ne peut pas respecter les horaires légaux (contraintes techniques, urgence, sécurité, délais contractuels...), une dérogation horaire peut être demandée. Cette autorisation reste exceptionnelle et strictement encadrée. Voici les points clés à connaître pour les professionnels et entreprises du bâtiment.

Pourquoi demander une dérogation horaire ?

Une dérogation peut être accordée lorsque la poursuite des travaux est techniquement indispensable ou urgente, par exemple :

  • une interventions de sécurité ou de mise en conformité,
  • des contraintes liées à la circulation ou à l’occupation des lieux,
  • des travaux ne pouvant être interrompus sans risque (bétonnage, réseaux, structure),
  • des chantiers soumis à des délais impératifs.

👉 La nécessité doit être réelle, justifiée et documentée.

À qui adresser la demande de dérogation ?

La demande doit être déposée auprès de l’autorité compétente, généralement :

  • la mairie ou la préfecture, selon la nature et la localisation du chantier),
  • les services municipaux chargés de la tranquillité publique ou de la voirie.

La décision est souvent prise après avis des services de police, chargés d’évaluer l’impact potentiel sur le voisinage.

Quelles informations fournir dans la demande ?

Pour maximiser les chances d’acceptation, le dossier doit préciser plusieurs éléments :

  • la nature exacte des travaux et leur caractère bruyant,
  • les horaires dérogatoires demandés,
  • la durée prévisionnelle du chantier,
  • les mesures prévues pour limiter les nuisances sonores,
  • les raisons techniques ou opérationnelles justifiant la demande.

Un dossier incomplet ou trop vague est généralement refusé.

L'obligation d'informer les riverains

Lorsque les travaux sont particulièrement bruyants ou s’inscrivent dans la durée, l’entreprise est tenue d’informer en amont les riverains et commerces installés à proximité du chantier. Cette information peut prendre plusieurs formes :

  • affichage visible aux abords du chantier,
  • distribution de notices dans les immeubles concernés,
  • communication directe avec les syndics ou bailleurs,
  • réunions d’information dans les cas les plus sensibles.

🎯 Objectif : anticiper les tensions, expliquer les contraintes du chantier et limiter les plaintes.

🛑 Quelles sanctions pour l'entreprise en cas de non-respect des règles ?

Travailler en dehors des horaires autorisés sans dérogation valable expose l’entreprise à différentes sanctions ou situations délicates à gérer :

  • une interruption immédiate du chantier,
  • des amendes,
  • une dégradation des relations avec les riverains et le maître d’ouvrage.

Pour un professionnel du bâtiment, formaliser une dérogation est toujours plus sûr que de s’exposer à un contrôle ou à un contentieux.


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Comment anticiper et limiter l’impact acoustique d’un chantier sur le voisinage ?

Limiter les nuisances sonores liées à un chantier ne relève pas uniquement du bon sens : c’est une obligation professionnelle et un enjeu de bonne gestion de chantier. Pour les entreprises du bâtiment, cela passe par une démarche proactive mêlant préparation réglementaire, communication avec le voisinage, solutions techniques et respect strict de la réglementation sonore.

Connaître les règles locales et anticiper les contraintes

Avant de démarrer un chantier, une entreprise du bâtiment doit s’informer sur les arrêtés municipaux ou préfectoraux applicables en matière de bruit. Ces textes peuvent restreindre les horaires autorisés ou imposer des mesures spécifiques selon la zone (école, hôpital, quartier résidentiel).

Pour les chantiers à fort impact sonore ou de longue durée, il est recommandé de réaliser une étude d’impact acoustique. Elle permet d’identifier les risques de conflit et d’adapter les moyens de prévention.

Enfin, il est essentiel d’anticiper les éventuels surcoûts liés aux mesures de réduction du bruit (écrans acoustiques, matériels spécifiques) dès la phase de devis.

Communiquer le plus tôt possible avec les riverains

Informer le voisinage est une étape clé pour désamorcer les tensions liées au bruit. L’entreprise doit afficher visiblement les dates, horaires et coordonnées du responsable du chantier. Elle peut aussi prévenir en amont les riverains des phases les plus bruyantes et expliquer leur nécessité (travaux de démolition ou de terrassement...).

Dans certains cas, proposer des ajustements, comme éviter les nuisances entre 12h et 14h ou regrouper les interventions bruyantes sur une courte période, permet de maintenir un climat de confiance. La transparence et le dialogue sont souvent plus efficaces que la simple application des règles.

Mettre en place des solutions techniques et organisationnelles

Une fois les travaux lancés, il est possible de limiter concrètement les nuisances sonores par des choix techniques adaptés. Utiliser des engins récents et homologués à la réglementation européenne (marquage "CE" visible), positionner les machines à distance des habitations ou installer des écrans acoustiques sont autant de leviers efficaces.

Capoter les machines et équipements fixes ou organiser le chantier de façon à limiter la propagation du bruit (zones de stockage...) contribue aussi à une meilleure maîtrise sonore.

Enfin, avoir un comportement professionnel sur site a toute son importance : il est recommandé de restreindre au maximum les travaux les plus bruyants aux moments de la journée où ils sont les plus gênants, à savoir tôt le matin ou en soirée et d'éviter les manœuvres inutiles limite l’irritation du voisinage.

Respecter les seuils d’émergence et les horaires autorisés

La réglementation impose de ne pas dépasser certains niveaux d’émergence, c’est-à-dire l’écart entre le bruit du chantier et le bruit ambiant. En journée (7h-22h), cette émergence ne doit pas excéder 5 dB(A) ; la nuit (22h-7h), elle est limitée à 3 dB(A).

Par ailleurs, les horaires autorisés pour les travaux bruyants varient localement, mais s’étendent en général de 7h à 20h en semaine. Les dimanches, jours fériés et horaires de nuit sont interdits, sauf autorisation exceptionnelle.

Le non-respect de ces règles peut entraîner des amendes lourdes (jusqu’à 7 500 €) et même la suspension du chantier. Pour une entreprise, le respect des seuils et horaires est donc autant une question de conformité que de pérennité de l’activité.

Bruit au travail BTP : quels sont les risques pour les travailleurs ?

Dans le secteur du bâtiment, l’exposition quotidienne au bruit représente un risque professionnel majeur pour les travailleurs. Sur un chantier, les niveaux sonores peuvent facilement dépasser 85 décibels, seuil à partir duquel l’audition peut être endommagée.

Sans protections auditives adaptées, les travailleurs s’exposent à des troubles auditifs irréversibles (acouphènes, perte d’audition), mais aussi à de la fatigue, du stress, une baisse de concentration ou des difficultés de communication.

À long terme, cela peut impacter la sécurité sur un chantier et augmenter le risque d’accidents. La prévention passe donc par une bonne évaluation des nuisances, le port systématique d’équipements de protection individuelle (casques, bouchons) et une organisation du travail qui limite l’exposition prolongée au bruit.

📈 En chiffres
~85 dB
Seuil où les dommages auditifs permanents peuvent commencer
Experts acoustiques
83 %
des travailleurs du BTP se disent gênés par le bruit sur les chantiers
Prévention BTP
52 %
des salariés du bâtiment constatent une baisse de compréhension de la parole du fait du bruit
Prévention BTP


🔍 Le vrai du faux

Entreprise du bâtiment : peut-on faire du bruit un jour férié ?

Faux...
En principe, les travaux bruyants sont interdits les jours fériés afin de préserver la tranquillité du voisinage. Cette interdiction concerne aussi bien les chantiers extérieurs que les travaux réalisés à l’intérieur des logements ou des immeubles. Des exceptions peuvent exister en cas d’urgence ou de nécessité technique avérée, mais uniquement avec une autorisation spécifique délivrée par la mairie ou la préfecture. Sans dérogation, faire du bruit un jour férié expose l’entreprise à une intervention des forces de l’ordre et à une sanction.

💡 Sans dérogation, faire du bruit un jour férié expose l’entreprise à une intervention des forces de l’ordre et à des sanctions. Consultez le règlement de la commune pour connaître précisément les plages horaires autorisées.

Travaux professionnels : peut-on faire du bruit le dimanche ?

Faux...
Le dimanche, les travaux bruyants sont interdits pour les professionnels du bâtiment, sauf dérogation spéciale accordée par la commune. Cette règle s’applique pour éviter les nuisances sonores dans les zones résidentielles. Même si certains particuliers bénéficient d’horaires assouplis, ce n’est pas le cas pour les entreprises, qui doivent impérativement respecter cette interdiction sous peine de sanctions.

💡 Toute intervention prévue ce jour-là doit faire l’objet d’une demande formelle auprès des autorités locales.

📌
Pour aller plus loin :
Journée continue dans le bâtiment : obligations et avantages
Semaine de 4 jours dans le bâtiment : bonne ou mauvaise idée ?

🕒 PME du bâtiment : livraisons, engins bruyants..., chaque passage doit être planifié !

Sur un chantier, ce ne sont pas seulement les outils et certaines tâches confiées aux équipes (burinage, découpe...) qui font du bruit, mais aussi les livraisons, les bétonnières en marche ou encore les allées et venues de camions-bennes, nacelles ou de grues de chantier. Pour éviter les tensions avec le voisinage ou une intervention de la police municipale, intégrez les contraintes sonores dès l’élaboration du planning de chantier.

Mobilisez vos équipes efficacement grâce à une bonne coordination en interne :

  • Le chef d’équipe prévoit les livraisons bruyantes dans les créneaux légaux, généralement à partir de 7h ou 8h.
  • Le conducteur de travaux ou le responsable technique contacte les fournisseurs pour caler les créneaux compatibles avec la réglementation locale.
  • La secrétaire ou l'assistante vérifie les arrêtés municipaux pour anticiper toute restriction particulière (notamment en centre-ville ou en zone résidentielle).
  • Les ouvriers sur place sont briefés dès le matin pour limiter les nuisances (pas de moteur tournant à l’arrêt, éviter les coups de godet à vide...).

En maîtrisant ces aspects logistiques, vous évitez les blocages, les amendes et les interruptions de chantier. Pour une PME, c’est aussi un gain de temps, une meilleure image... et moins de stress au quotidien.


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👷 Le Conseil du Pro : anticipez les nuisances sonores pour éviter les blocages et retards de chantier !

Avant même le démarrage des travaux, identifiez précisément les phases les plus bruyantes du chantier (démolition, perçage, sciage, circulation des engins de chantier...). Vérifiez ensuite les horaires autorisés par la commune et, si un dépassement est inévitable, déposez une demande de dérogation en amont, avec des horaires et une durée clairement définis. En parallèle, informez les riverains ou la copropriété dès que possible : un affichage clair ou un message explicatif suffit souvent à désamorcer les tensions. Cette anticipation limite les plaintes, évite les interruptions imposées par les autorités et sécurise le planning. Pour une entreprise du bâtiment, c’est un moyen simple de protéger ses délais, sa réputation et sa relation client.


❓ Foire aux questions (FAQ)

Quel niveau de bruit est autorisé sur un chantier ?

La réglementation ne fixe pas un seuil unique applicable à tous les chantiers, mais impose de ne pas générer de nuisances sonores excessives ou répétées pour le voisinage. Dès lors que le bruit est anormal par son intensité, sa durée ou sa répétition, il peut être sanctionné, même en horaires autorisés. En pratique, les chantiers dépassent souvent les 80 à 90 dB à proximité des machines, ce qui est toléré uniquement s’ils respectent les horaires légaux et les mesures de limitation du bruit.

Quelle est l'heure légale pour commencer des travaux professionnels ?

En l’absence de réglementation plus stricte au niveau local, les travaux professionnels bruyants peuvent légalement débuter à partir de 7 heures du matin du lundi au vendredi, et à compter de 8 heures le samedi. Cette plage horaire est définie pour permettre aux professionnels d’intervenir tôt, tout en limitant les nuisances pour les riverains. Il est néanmoins essentiel de vérifier les arrêtés municipaux, car certaines communes imposent des horaires plus restreints, notamment dans les zones sensibles ou résidentielles.

Quels sont les horaires autorisés pour les travaux bruyants en semaine ?

En règle générale, les travaux bruyants sont autorisés en semaine de 7h à 22h pour les entreprises du bâtiment. Ces horaires encadrent toutes les activités susceptibles de générer des nuisances, qu’elles aient lieu en intérieur ou à l’extérieur. Toutefois, certaines municipalités peuvent fixer des restrictions plus strictes, notamment dans les centres urbains ou les zones densément peuplées. Il est donc recommandé de consulter les arrêtés locaux avant de planifier un chantier.

Peut-on faire du bruit le 1er mai ?

Le 1er mai fait l’objet d’un régime particulièrement strict, car il s’agit d’un jour férié chômé et légalement protégé. Les travaux bruyants y sont donc interdits, y compris sur les chantiers professionnels. Seules des interventions indispensables à la sécurité ou à la continuité d’un service peuvent être tolérées, après autorisation expresse. Pour une entreprise du bâtiment, programmer des travaux bruyants ce jour-là sans dérogation constitue un risque juridique important.

Casque anti bruit chantier : quel équipement privilégier ?

Le casque anti-bruit est particulièrement adapté aux environnements très bruyants et continus, comme les chantiers avec engins, marteaux-piqueurs ou scies. Pour être efficace, il doit être choisi en fonction du niveau sonore réel et offrir une atténuation suffisante tout en restant compatible avec le port du casque de sécurité. Un modèle confortable et bien ajusté sera mieux porté par les équipes sur la durée, ce qui garantit une protection réelle contre les risques auditifs.

Protection individuelle contre le bruit : que faut-il penser des bouchons anti-bruit ?

Les bouchons anti-bruit constituent une solution simple et efficace pour les nuisances sonores modérées ou ponctuelles sur chantier. Ils sont faciles à distribuer, peu encombrants et bien adaptés aux interventions courtes. En revanche, leur efficacité dépend fortement de leur bonne mise en place, souvent négligée sur le terrain. Pour une entreprise, ils doivent être considérés comme un complément ou une alternative temporaire au casque, et non comme une protection universelle.

Références :

  • "Bruits de chantier : réglementation et bonnes pratiques", FFB
  • "Réglementation du bruit sur les chantiers - Protection contre le bruit dans l'artisanat", CMA Grand Est
  • "Contre le bruit, j'agis", Prévention BTP
  • "Bruit, nuisances sonores et pollution sonore", Gouvernement
  • "Troubles du voisinage : bruits d'activité professionnelle (chantier...)", Service Public
  • "Les guides du CNB - Bruits des chantiers", Conseil National du Bruit
  • "Métiers du bâtiment - Réglementation bruit bâtiment", Écomet
  • "Nuisances sonores professionnelles : de nombreux secteurs sont concernés", Cotral
  • "Comment signaler les nuisances sonores ?", Paris
  • Image principale de l'article Antonioguillem - Adobe Stock

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