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Classe énergie maison : les 7 classes existantes décryptées

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Classe énergie maison : les 7 classes existantes décryptées

La classe énergie d'un bien immobilier est un indicateur fiable de sa performance énergétique. Elle vous permet d'anticiper le montant de vos futures factures d'énergie au moment d'un achat ou de la signature d'un bail de location. Pour les propriétaires et bailleurs, un bien étiqueté A, B, voire C vous permet de réaliser des plus-values lors de la vente ou de la mise en location. Découvrez les 7 classes énergie existantes et tous nos conseils pour vos travaux de rénovation !

Qu'est-ce qu'une classe énergie ?

La classe énergie est un système de notification des biens immobiliers (maisons et appartements) portant sur la performance énergétique.

La notation est synthétisée dans l'étiquette énergie du logement, comme c'est aussi le cas pour les appareils électroménagers. Il existe 7 classes énergie : A, B, C, D, E, F, G. Ainsi, une maison classée A est très bien isolée et consomme très peu d'énergie pour être chauffée ou rafraîchie. À l'inverse, une maison classée G est une véritable passoire thermique. On parle aussi de passoire énergétique. De nombreuses aides à la rénovation sont mis en place pour encourager la transition énergétique, vous pouvez les consulter ici pour 2024.

Un mauvais classement n'est pas une fatalité. Il y a des leviers concrets pour remonter sa note, parfois sans tout refaire. Un professionnel de la rénovation énergétique certifié saura vous orienter vers les priorités, et adapter le projet à votre budget sans oublier les aides mobilisables.

Seuils des étiquettes énergie : les dernières nouveautés

Voici les seuils des étiquettes énergie du DPE, en vigueur depuis le 1er juillet 2021. Elles prennent en compte à la fois la consommation totale d'énergie primaire du bien et les émissions de gaz à effet de serre associées au logement :

étiquette énergie DPE

Étiquettes énergie - DPE

Classe énergie
Consommation totale d'énergie primaire en kWh/m² par an
Émissions de gaz à effet de serre en kg/m² par an
Classe A
Moins de 70
Jusqu'à 6
Classe B
Entre 71 et 110
Entre 7 et 11
Classe C
Entre 111 et 180
Entre 12 et 30
Classe D
Entre 181 et 250
Entre 31 et 50
Classe E
Entre 251 et 330
Entre 51 et 70
Classe F
Entre 331 et 420
Entre 71 et 100
Classe G
Plus de 421
Plus de 101


Quelle est l'utilité de connaître la classe énergie d'un logement ?

Les classes énergie apparaissent sur le DPE (Diagnostic de performance énergétique) d'un bien. Elles offrent de précieuses indications aussi bien au propriétaire qu'au locataire, au moment de :

  • L'achat et de la revente du bien,
  • La recherche d'une location et de la mise en location d'un logement.

La classe énergie vous aide à choisir une maison ou un appartement dans lequel il sera confortable de vivre et qui vous permettra de faire des économies d'énergie au quotidien. Par ailleurs, en tant que propriétaire ou bailleur, si votre bien présente une note élevée (A, B, voire C), vous pourrez réaliser d'importantes plus-values.

  • Une maison économe en énergie étiquetée A ou B au DPE se vend en moyenne jusqu'à 17 % plus chère qu'une maison moins performante classée F ou G (selon les régions).
  • Un appartement économe en énergie classé A ou B au DPE se vend en moyenne entre 13 et 20 % plus cher qu'un appartement moins performant étiqueté F ou G (selon les régions).

👉
À noter :
Le DPE renseigne également sur le taux d’émission de gaz à effet de serre (GES) du bien concerné, appelée étiquette climat.

Etiquette taux d emission de gaz a effet de serre

Étiquette Climat - DPE

Isolation vieillissante, chauffage obsolète, murs froids en hiver... Ce diagnostic met souvent en lumière ce que l’on ressent déjà au quotidien. Un artisan peut vous aider à y voir clair et à planifier les bons travaux, au bon moment !

Les 7 classes énergie pour la maison

Le calcul de la classe énergie est exprimé en kWh EP/m² an. kWh EP/m² an désigne la consommation primaire d'énergie (EP) pour le chauffage, l'eau chaude sanitaire et la climatisation.

La classe énergie vous permet donc d’anticiper le montant de vos futures consommations d'énergie et donc de vos factures. Voici les 7 classes énergie pour votre maison ou appartement et à quels types de bâtiment ces étiquettes énergie correspondent :

Classe énergie
Consommation d'énergie primaire (en kWh EP/m² par an)
À quoi ça correspond ?
A
≤ 70
Les logements les plus performants et économes.
Difficilement atteignable en rénovation, mais accessible pour la construction neuve : il s'agit de constructions neuves répondant aux critères de la RT 2020, labellisées BEPOS (Bâtiment à énergie positive) et de maisons passives.
B
71 à 110
Les bâtiments basse consommation (label BBC), généralement très récents.
Pour atteindre ce niveau de performance, il faut un système de chauffage très performant, une isolation thermique renforcée, une étanchéité à l’air et le recours aux énergies renouvelables.
C
111 à 180
Les logements récents, performants sur le plan énergétique, le plus souvent équipés d'un système de chauffage central au gaz, voire au fioul.
Si vous rénovez un bien classé C, nous vous recommandons un complément d'isolation dans les combles et le passage à une chaudière performante ou une pompe à chaleur.
D
181 à 250
Les logements construits dans les années 1980 et 1990, récemment rénovés, le plus souvent chauffés à l'électricité ou utilisant un chauffage à combustion.
Il s'agit de la classe la plus répandue, avec les logements classés E ou F. Si vous rénovez un bien classé D, nous vous recommandons l'isolation des combles et fenêtres, le remplacement de votre ancienne chaudière ou encore la pose d'une pompe à chaleur.
E
251 à 330
Les logements construits avant les années 1975 ou les logements anciens chauffés à l'électricité.
Ils se caractérisent par des performances énergétiques très moyennes ou mauvaises, à la limite de celles des biens considérés comme des passoires thermiques.
Si vous rénovez un bien classé E, vous allez avoir des travaux à faire..., mais vous devriez pouvoir bénéficier des aides de la rénovation énergétique (MaPrimeRénov', éco-prêt à taux-zéro, prime énergie, TVA 5,5 %, aides de l'Anah, aides des collectivités locales...).
F
331 à 420
Les logements anciens généralement construits entre 1948 et 1965.
Un bouquet de travaux de rénovation énergétique est indispensable, conduisant à d'importantes économies d'énergie.

G



G+

421 à 449



Plus de 450
Les passoires thermiques les moins performantes et les plus énergivores... Il s'agit de constructions très anciennes et très mal isolées, qui n'ont, pour la plupart, jamais été rénovées. D'importants travaux de rénovation s'imposent.

Les logements classés G+ sont interdits à la location depuis le 1er janvier 2023. Il s'agit des biens dont la consommation énergétique finale est supérieure à 450 kWh par m² de surface habitable et par an.


Pour vous aider à comprendre ce tableau : La moyenne nationale du DPE est de 250 kWh/m² par an, soit un classement de catégorie E. Une classe énergie de maison A, B, C et D est donc meilleure que la moyenne, tandis que les classes énergie F ou G correspondent aux catégories les plus énergivores.

💡
Bon à savoir :
Depuis le 1er avril 2013, le DPE est calculé avec 2 fois plus de points de contrôle (actuellement 60 points de contrôle). Il prend notamment en compte le mode de ventilation du logement, les déperditions thermiques du logement et le système de chauffage utilisé. Il évalue aussi les performances thermiques et énergétiques du bien, aussi bien en termes de chauffage que de refroidissement ou de production d'eau chaude sanitaire.

Exemple gratuit de DPE

Exemple de DPE

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🔄 Réforme DPE 2025-2027 : ce qui change pour les propriétaires

La réforme du diagnostic de performance énergétique bouleverse les règles du jeu : calendrier repoussé, mode de calcul plus favorable pour les logements se chauffant à l’électricité et fiabilité renforcée. Des évolutions qui pourraient bien faire sortir des centaines de milliers de logements du statut de passoire énergétique (étiquettes F et G).

Fournir un DPE avant des travaux : report de l’obligation au 1er janvier 2027

L’obligation de réaliser un diagnostic de performance énergétique (DPE) ou un audit énergétique avant d’engager des travaux est finalement reportée au 1er janvier 2027. Initialement, cette mesure devait s’appliquer dès le 1er janvier 2026, notamment dans le cadre du parcours par geste de MaPrimeRénov’.

Ce report ne doit pas faire oublier que le DPE reste un élément central. Depuis le 30 septembre 2025, les particuliers ne peuvent "bénéficier de MaPrimeRénov’ Rénovation d’ampleur que si le logement en question fait partie des plus énergivores, autrement dit s’il est classé E, F ou G", indique le ministère chargé du Logement.

Baisse du coefficient d'énergie primaire : un taux plus favorable pour l'électricité

Un arrêté publié au Journal officiel du 26 août 2025 modifie le coefficient d’énergie primaire de l’électricité, qui passe de 2,3 à 1,9, dans le calcul du DPE. Une baisse significative qui rend les logements chauffés à l’électricité plus compétitifs sur le plan énergétique. Cette évolution entrera en vigueur dès le 1er janvier 2026.

Pas besoin de refaire son ancien DPE : une actualisation gratuite

À ce titre, beaucoup de propriétaires s’interrogent : faut-il refaire son diagnostic pour que son logement puisse bénéficier de sa nouvelle étiquette énergétique ? La réponse est non.

À partir du 1er janvier 2026, il sera possible de télécharger gratuitement une « attestation officielle de changement d’étiquette énergétique » en saisissant les données de son logement sur le site dédié de l'Ademe, Observatoire DPE-Audit.

Cette actualisation permettra de valoriser les anciens DPE et audits énergétiques concernés, sans repasser par un diagnostiqueur. La réévaluation peut offrir un gain d’une classe maximum sur l’échelle des notes, allant de A (la meilleure performance) à G (la plus faible).

850 000 logements vont sortir du statut de passoire énergétique

Les effets de cette réforme seront immédiats : parmi les 5,8 millions de logements classés F ou G au DPE, 850 000 logements classés comme passoires thermiques, "principalement chauffés à l’électricité", devraient sortir de ce statut dès le 1er janvier 2026. De quoi éviter, pour certains, une interdiction de location, en toute légalité.

Un QR code ajouté : des DPE plus fiables ?

La réforme du DPE ne se limite pas à sa méthode de calcul : elle s’accompagne aussi de nouveaux outils pour garantir la fiabilité des diagnostics. Depuis le 1er septembre 2025, un QR code est présent sur la première page des nouveaux modèles de rapports du DPE.

Ce code renvoie directement vers le DPE enregistré sur le site officiel de l’Ademe, Observatoire DPE-Audit, permettant de vérifier la validité des données pour un logement existant ou un bâtiment neuf, que ce soit un appartement ou une maison individuelle. "Un scan, et vous saurez immédiatement si votre DPE est bien enregistré par l'Ademe et si les données correspondent", souligne la ministre chargée du Logement, Valérie Létard.

⚠️
Important :
Le 28 juillet 2025, un arrêté a été publié au Journal officiel pour intensifier la lutte contre les fraudes au DPE, alors que 70 000 diagnostics erronés ont été détectés en 2024. À partir du 1er octobre 2025, tout diagnostiqueur ayant réalisé plus de 1 000 DPE de logements individuels ou appartements sur 12 mois sera automatiquement suspendu. Un QR code unique sera aussi généré à chaque fois.

🔍 Le vrai du faux

Faire un seul type de travaux suffit-il à gagner plusieurs classes au DPE ?

Faux...

Il est courant de penser qu’un simple changement de chaudière, de fenêtres ou une isolation partielle permet de faire bondir la note du DPE. Cela peut parfois améliorer la performance, mais rarement de manière significative si le reste du logement reste énergivore. Le DPE repose sur une évaluation globale : parois, ventilation, chauffage, production d’eau chaude, type d’énergie... Un gros chantier d’isolation peut même ne pas faire évoluer la classe énergétique s’il n’est pas combiné à d’autres améliorations cohérentes (ventilation, régulation, équipements efficaces).

📌
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😉 Le Conseil Habitatpresto : commencez par isoler votre logement !

Quand vous vous lancez dans la rénovation d'un logement, commencez toujours par refaire ou compléter l'isolation. Ainsi, vous gagnerez immédiatement en confort et vous pourrez choisir un système de chauffage adapté à vos besoins et non pas à ceux d'un logement mal isolé. Faire appel à des entreprises RGE vous permettra de bénéficier d'aides financières spécifiques.


Les questions fréquentes

Quelle classe énergétique est requise pour louer un logement ?

Depuis le 1ᵉʳ janvier 2023, un logement doit consommer moins de 450 kWh/m²/an en énergie finale pour être considéré comme décent et donc louable. À partir de 2025, les logements classés G seront interdits à la location, suivis des classes F en 2028 et E en 2034. Ces mesures visent à améliorer la performance énergétique des logements loués.

Comment connaître la classe énergétique de son logement ?

Pour déterminer la classe énergétique de votre logement, il est nécessaire de réaliser un Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) effectué par un diagnostiqueur certifié. Ce diagnostic évalue la consommation d'énergie et les émissions de gaz à effet de serre du bien, attribuant une note de A à G. Les résultats sont consignés dans un rapport officiel, indispensable lors de la vente ou de la location d'un bien immobilier.

Comment améliorer la classe énergétique d'un appartement ?

Pour rehausser la classe énergétique de votre appartement, envisagez des travaux tels que l'isolation des murs, toitures et planchers, le remplacement des fenêtres par des modèles à double vitrage, et l'installation de systèmes de chauffage et de production d'eau chaude plus efficients. L'utilisation d'énergies renouvelables, comme les panneaux solaires, peut également contribuer à cette amélioration. Ces interventions réduisent la consommation énergétique et les émissions de gaz à effet de serre, tout en augmentant le confort et la valeur du bien.

Quelle est la bonne classe énergétique ?

La classe énergétique idéale pour un logement est A ou B, indiquant une excellente performance énergétique avec une consommation inférieure à 110 kWh/m²/an. Ces classes reflètent une isolation efficace et des systèmes énergétiques performants, assurant un confort optimal et des factures énergétiques réduites. De plus, un logement bien classé valorise le bien sur le marché immobilier et contribue à la préservation de l'environnement.

Références :

Lexique utile

  • Bilan énergétique : Analyse complète de la consommation d'énergie d'une maison (chauffage, eau chaude, éclairage...), permettant de déterminer sa classe énergétique.
  • Chauffage central : Système de chauffage unique alimentant toute la maison via des radiateurs ou un plancher chauffant. Son efficacité influence fortement la classe énergétique.
  • Chauffe-eau thermodynamique : Appareil combinant un ballon d’eau chaude et une pompe à chaleur. Économe en énergie, il améliore la performance énergétique d'une maison.
  • Classe énergétique : Note attribuée à un logement (de A à G) en fonction de sa consommation énergétique et de ses émissions de gaz à effet de serre. A est la meilleure note, G la moins performante.
  • Consommation énergétique primaire (CEP) : Quantité totale d'énergie consommée par un logement pour fonctionner, exprimée en kWh/m²/an. Un CEP faible indique une maison économe.
  • Déperditions thermiques : Pertes de chaleur par les murs, fenêtres, sols et toitures. Une isolation efficace limite ces pertes et améliore la classe énergétique.
  • Diagnostic de performance énergétique (DPE) : Évaluation obligatoire lors de la vente ou location d’un logement en France, attribuant une classe énergétique et mesurant les émissions de CO₂.
  • Double vitrage : Fenêtres composées de deux vitres séparées par un espace isolant, réduisant les pertes de chaleur et améliorant la classe énergétique.
  • Énergie finale : Quantité d’énergie réellement consommée par le logement (après conversion et transport). Elle est utilisée pour calculer la classe énergétique.
  • Énergie renouvelable : Sources comme le solaire, la géothermie ou la biomasse, utilisées pour réduire la dépendance aux énergies fossiles et améliorer le DPE.
  • Émission de gaz à effet de serre (GES) : Quantité de CO₂ produite par le logement, classée de A à G dans le DPE. Une faible émission contribue à une bonne classe énergétique.
  • Étanchéité à l’air : Capacité d’un bâtiment à empêcher les infiltrations d’air. Une bonne étanchéité réduit les besoins en chauffage et améliore la performance énergétique.
  • Isolation thermique : Matériaux et techniques utilisés pour limiter les pertes de chaleur par les parois du logement (toit, murs, sols, fenêtres). Essentiel pour une bonne classe énergétique.
  • Label BBC (Bâtiment Basse Consommation) : Certification attribuée aux logements consommant peu d’énergie (moins de 50 kWh/m²/an). Garant d’une classe énergétique A ou B.
  • Panneaux solaires thermiques : Installations captant l’énergie solaire pour produire de l’eau chaude sanitaire ou alimenter le chauffage. Réduisent la consommation énergétique fossile.
  • Passoire thermique : Terme désignant une maison avec une classe énergétique F ou G, caractérisée par une forte consommation d’énergie et des déperditions importantes.
  • Plancher chauffant : Système de chauffage intégré sous le sol, fonctionnant à basse température. Réduit les besoins énergétiques, contribuant à une meilleure classe énergétique.
  • Pompe à chaleur (PAC) : Système écologique transférant les calories de l’air, du sol ou de l’eau pour chauffer un logement. Améliore significativement la classe énergétique.
  • Régulation thermostatique : Système ajustant automatiquement la température en fonction des besoins, réduisant la consommation énergétique et optimisant le DPE.
  • Rendement énergétique : Efficacité d’un système à convertir l’énergie consommée en chaleur ou électricité utile. Un rendement élevé est un atout pour une bonne classe énergétique.
  • RT 2012 et RE 2020 : Réglementations thermiques imposant des standards de performance énergétique aux constructions neuves. Les bâtiments conformes ont généralement une classe A ou B.
  • Surisolation : Ajout de couches isolantes supplémentaires pour améliorer encore la performance thermique, notamment dans les combles ou les murs.
  • Triple vitrage : Fenêtre composée de trois vitres avec deux espaces isolants. Réduit les pertes de chaleur plus efficacement que le double vitrage.
  • Ventilation mécanique contrôlée (VMC) : Système qui renouvelle l’air intérieur tout en limitant les pertes de chaleur. Une VMC double flux est particulièrement efficace pour une bonne classe énergétique.
  • Zones climatiques : Régions définies en fonction de leur climat. Les exigences pour obtenir une bonne classe énergétique varient selon la zone (H1, H2, H3).

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